Il est vrai : il y a des millions de Français qui ont respiré le virus COVID 19 et qui n’ont jamais eu le moindre symptôme.
Toutefois, les symptômes les plus dangereux sont ceux que l’on ne ressent pas si ce n’est parfois par une fatigue qui s’accroît au cours des années. Personne ne se rend compte que notre système immunitaire est, pendant ce temps, ravagé.
Les virus, le cancer, n’ont pas les mêmes définitions. Les virus se promènent dans la nature, et nous les respirons. Les cancers se construisent dès la naissance sans qu’il y ait le moindre symptôme apparent.
En ce qui concerne le cancer qui met parfois des années et des années à se construire, le problème de la fatigue n’a jamais été pris en compte. Pourtant, c’est vraiment le premier symptôme. Les symptômes que nous ne ressentons pas jusqu’au moment où ils prennent trop de place dans les organes filtreurs et dérèglent leurs fonctionnement, risquent, un jour, d’être ressentis et souvent trop tard. Il faudra donc trouvé une solution pour les détecter bien avant qu’ils ne deviennent dangereux.
Le cancer tue 220 000 personnes chaque année en France mais ce n’est que la phase finale car, dès la naissance, il va affaiblir notre système immunitaire et nous rendre dans un état de faiblesse permanent sans même que l’on s’en rende compte. Le cancer empêche l’homme d’avoir sa force et son énergie, ce qui se ressent dans son travail.
C’est justement ce phénomène auquel je propose de mettre fin en donnant la possibilité au corps de ne plus être assujetti à la cause qui est uniquement constituée par les dérives des variations des pressions atmosphériques. C’est ce que j’ai découvert et c’est aussi la solution que j’y ai apportée afin d’éviter la construction des cancers et afin de stopper leur développement.
Ce n’est pas par un produit nouveau mais par une technique nouvelle que j’ai choisie pour réguler ces pressions atmosphériques, que nous pourrons stopper les cancers.
Quant au virus, c’est tellement évident que, pour ne pas le respirer, il faut l’éradiquer.et ma solution est toute simple : projeter les virus sur un mur de feu, que ce soit chez vous, dans votre bureau, au théâtre, au cinéma ou dans les grandes surfaces. Souffler l’air ambiant sur ce mur et il n’y aura plus de virus.
Je rappelle au passage que, pour renouveler l’air de tout un supermarché, il faut moins d’une demi-heure. Il suffira donc de faire cette opération en dehors des heures d’ouverture. C’est le seul moyen pour assainir totalement l’air ambiant. Quant au mur de feu, rien de plus simple que d’avoir des panneaux de résistance, plus ou moins grands selon l’espace, sur lesquels les souffleries projetterons les virus. Et il n’y a pas un seul virus qui traversera ce mur de feu en restant vivant.
On ne peut pas chercher et vivre dans l’opulence
Les laboratoires ne peuvent pas être des centres de recherche.
Leurs dirigeants vivent dans l’opulence ; ils n’ont pas la possibilité ni la capacité de chercher et encore moins de faire chercher à leurs employés ce qu’ils sont incapables de faire eux-mêmes.
Les découvertes ont besoin de doute, d’endurance et nécessitent, je dirai presque, de vivre en ermite car la recherche hantent les jours et les nuits. La recherche, c’est la nécessité de constater des milliers de phénomènes parmi lesquels on trouvera nécessairement celui qui est la cause de nos grandes maladies et de nos maladies orphelines.
Les grandes découvertes sont rares, très rares, mais tellement passionnantes qu’elles ne peuvent être, en aucun cas, l’œuvre de spéculateurs.
Les plus grands découvreurs ont été peu connus en leur temps. On a commencé par les ridiculiser, puis on s’y est opposé et, comme toujours, est arrivée l’évidence.
Oh ! Qu’il est difficile d’entendre sans cesse : « tu n’y arriveras pas ». Et, sans me prendre pour un grand chercheur, j’ai vécu ces moments difficiles quand j’ai mené le combat contre les monopoles. Et ce n’est que l’un d’entre eux qui m’a mis sur la voie que je propose aujourd’hui pour mettre fin au cancer.
Aujourd’hui, je suis dans la phase où l’on me ridiculise, avec un certain doute toutefois parce que ce que j’ai déjà fait a abouti par la liberté de choix des familles.
Mais il faut reconnaître que c’est un peu la chance et le hasard qui nous fait trouver la solution sur des milliers de chemins qui peuvent être pris pour découvrir.
Quand on détient une part de vérité, on souhaite que cette part devienne simplement l’évidence pour tous.