Vivre hors les normes naturelles :
- c’est jouer avec le feu,
- c’est s’immoler sur l’autel de la nature,
- c’est refuser tous les records,
- c’est refuser de vivre en pleine forme et longtemps.
La vie a ses constantes naturelles dans tous les domaines :
- c’est la température interne de notre corps à 37°
- c’est la température externe au corps à 19 ou 20°
- c’est une tension artérielle à 14 maximum
- c’est une pression atmosphérique de 1013 millibars au niveau de la mer.
Enfreindre ces normes, c’est s’exposer à de grandes maladies, à une courte vie et aux affres de la vieillesse.
Heureusement, à tous ces problèmes il y a déjà une solution, excepté pour les variations des pressions atmosphériques qui ont été oubliées par le monde médical puisque ni visibles, ni ressenties.
Rare d’ailleurs sont les Français qui possèdent un baromètre pour vérifier les dérives de ce phénomène pourtant naturel ; cependant, c’est ce phénomène qui est la cause des grandes maladies, d’une vie trop limitée dans le temps.
« Hygée » est le seul régulateur au monde qui y apporte la solution.
Hier, j’ai rencontré
Hier, j’ai rencontré le Dr Ladjimi (pneumologue).
Entre deux consultations, je lui ai expliqué les tenants et aboutissants de ma découverte qui met en cause, dans notre vie, les variations de pressions atmosphériques.
Sa réflexion immédiate et spontanée a été simple :
« personne n’y a pensé et à l’école de médecine, on ne m’en a jamais parlé ».
Sa deuxième réflexion a été :
« avez-vous déjà déposé un brevet ? » et il terminait en disant : « comment n’y a-t-on pas pensé ? ».
Ces réflexions ne m’étonnent pas car il fallait déjà savoir que nous vivions dans des variations de pressions atmosphériques de 960 à 1050 millibars.
Et il a automatiquement, sans que je le lui dise, perçu les conséquences en me disant : « mais alors, les nano et micro-vaisseaux n’apportent plus de sang aux cellules et elles vont mourir par manque d’oxygène ».
Je n’avais plus rien à ajouter : tout était dit.
Et, au surplus, le Docteur précisait :
« mais alors, on peut mettre fin aux grandes maladies et aux cancers ». Je lui ai simplement répondu que c’était tout l’objet de ma découverte.
J’avoue avoir été surpris de toutes ces réflexions qui ne font que confirmer ce que je vous écris depuis deux ou trois ans…