Réactiver plusieurs fois dans l’année la solution d’éradication pour tuer le virus est une solution mille fois supérieure à l’injection répétée de vaccins. Pourquoi ? :
- le vaccin n’intervient que quand le virus est dans le corps humain et avec toutes ses conséquences
- utiliser l’éradication, c’est éviter le virus avant qu’il n’atteigne l’homme ; ceux qui n’ont pas compris cela ne peuvent pas participer à mettre fin à la pandémie
- l’éradication du virus par rayons ultraviolets coûtera, à chaque fois, entre 4 et 500 000 euros pour toute la France ; une seule injection supplémentaire de vaccin coûtera 3 à 4 milliards supplémentaires
- l’éradication sera, à un moment donné, définitive pour la fin du virus ; le vaccin donnera au virus la possibilité de circuler sans inquiétude.
Alors, on nous dit qu’on va, à présent, ventiler les espaces où séjournent les personnes, tels que cinémas, théâtres jusqu’aux maisons, mais cette solution ne fait que déplacer le virus si, dans ce système de ventilation, ne sont pas inclus des rayons ultraviolets. C’est ce qu’il y a de plus dangereux car, en rejetant le virus dans l’atmosphère, on met en cause, non pas les gens qui sont à l’intérieur mais tous ceux qui à l’extérieur respireront cet air rempli de virus.
Décidément, le bon sens a du mal à s’imposer. C’est d’autant plus vrai que l’éradication par ultraviolets est très économique.
Car réalisable par du personnel qui existe déjà : pompiers, militaires et service civil, qui ne sont pas toujours surchargés. Qui plus est, ils sont déjà formés à protéger les gens contre des offensives telles que frelons, fumées, et à connaître le maniement des appareils adéquats.
La solution que je propose évitera tous les risques engendrés par les vaccins et aura un résultat positif à 100%. Elle sera peu coûteuse et réalisable immédiatement.
Alors pourquoi ?… Est-ce une simple affaire d’argent pour les politiques comme pour les scientifiques ? : la vie des êtres humains doit être certainement exclue du registre de l’économie aux profits de quelques-uns…
Une tromperie
Le gouvernement actuel se vante d’avoir protégé les Français pendant la pandémie en leur versant des salaires ou indemnités, une pandémie qui n’est pas terminée.
C’est bien, mais il faut dire aux Français que ce sont eux qui vont payer l’addition car tout ceci a engendré un accroissement de la dette de près de 700 milliards soit un montant de 20 000 € par foyer. En fait, on a appauvri la France et les Français ; il n’y a pas de quoi s’en réjouir et encore moins de s’en vanter…
Ce n’est que par un jeu financier que tout ceci a été possible mais le résultat est accablant d’autant plus que le virus continue à sévir en France, comme dans tous les pays du monde.
On a menti aux Français car cette pandémie aurait pu être, sinon anéantie, du moins limitée à quelques cas précis de personnes grandement immunodéprimées.
Et ce mensonge existe depuis plus d’un siècle en ce qui concerne les cancers.
Que ce soit pour les virus ou pour les cancers, nous avons la solution, qui ne passe pas par les laboratoires, il est vrai, mais c’est celle du bon sens : pour les premiers, il s’agit de l’éradication et pour les seconds, c’est la régulation des excès des pressions atmosphériques.
Ceux qui disent que l’éradication est un rêve, disent aussi que la régulation est impossible, mais j’aimerais savoir combien ces gens sont payés par les laboratoires pour nous raconter de telles âneries.
Bien sûr, tous les scientifiques ne sont pas prêts à accepter des solutions qu’ils qualifient de « remèdes de bonne femme ». Toutefois, les choses ont évolué depuis un siècle.
Je demande au gouvernement français de changer sa politique qui conduit à la catastrophe, que ce soit sur le plan sanitaire comme sur le plan économique, l’un dépendant étroitement de l’autre.
Oui, il faut bouleverser ce qui existe et ce n’est qu’à ce prix que l’on redonnera sa vitalité à la France, vitalité sanitaire et vitalité économique.