Qu’est-ce qui nous ronge ?

  • Le manque d’argent pour vivre correctement ?
  • Notre incapacité à affronter l’infiniment grand et l’infiniment petit, tous deux étant désastreux pour notre vie
  • Un moral difficilement supportable avec un futur trouble, un présent détérioré et un bon sens écarté
  • Un travail imposé au lieu d’être désiré
  • Un manque de liberté et d’égalité dans un monde en pleine effervescence
  • La guerre à nos portes que nos dirigeants tentent de ne pas voir
  • Un futur inquiétant pour nos enfants : «  la maison brûle » (disait Jacques Chirac), et les pompiers sont impuissants à éteindre le feu.

A cette énumération, il existe des causes et des solutions que l’on se refuse à utiliser en oubliant que pour toute chose, il y a une action naturelle ou une réaction qui s’y oppose.

Essayons de conserver toutes nos facultés.

Essayons d’ouvrir les yeux sur un nouveau monde, sans guerre, sans détresse.

On ne parviendra pas à tout résoudre mais il faut déjà faire ce qui est possible par l’évidence.

Nos exportations s’effondrent, nos importations s’envolent

 Il va bien falloir, un jour ou l’autre, revenir les pieds sur terre.

Le déficit entre exportation et importation prend des allures dangereuses pour la France,

Nous payons en dollars nos importations et nous sommes payés en dollars pour nos exportations.

Viendra un jour où nous n’aurons plus de dollars pour importer. Les technologies nouvelles sont nécessaires.

Il semble ridicule d’importer des poulets alors que nos élevages sont à la hauteur en qualité et en quantité.

Et nos agriculteurs produisent suffisamment de céréales pour les alimenter.

Il semble tout aussi ridicule d’importer de la viande de bœuf alors que la France en regorge en qualité et en quantité.

Avec déjà un déficit fabuleux, va-t-on devoir importer du  lait, du beurre, faute de vaches ?

On importe déjà plus de 50% de nos médicaments que l’on pourrait évidemment produire en France pour quelques centimes de plus.

On préfère ajouter une taxe supplémentaire pour alimenter les caisses !

Et, plus grave encore, nous sommes devenus des dépendants.

Il suffit de regarder ce qui se passe dans les pharmacies :

les produits manquent de plus en plus sans en connaître le renouvellement.

Ne pourrait-on pas les produire en France ?

Il faut, semble-t-il, raison garder et imposer à nos frontières la qualité française, aux normes françaises.

Il faut arrêter de profiter des salaires très bas dans beaucoup de pays qui étaient hier des pays émergeants et qui sont devenus super industrialisés.

Chaque jour, nous devenons plus dépendants de pays que nous n’aimons que  pour leurs prix.

On a oublié la qualité et les constantes nécessaires aux aliments.

Le sanitaire est battu en brèche.

La nourriture que nous recevons des pays étrangers ne répond à aucune norme.

Non seulement on a du mal à se défendre ou à se protéger des dérives de la nature, chez nous, mais on en importe.

On dirait qu’on a du plaisir à se détruire.

Bientôt nous n’aurons plus personne pour produire.

On croit seulement qu’en achetant à l’étranger, on est gagnant, c’est une erreur monumentale car les produits que nous achetons détruisent notre santé, et cela coûte cher.

Les produits que nous importons ont une durée inférieure à celle que nous produisons.

Il faut, un jour ou l’autre, réaliser et faire les comptes.

Ceci est valable pour notre alimentation, pour notre santé et pour tout ce que nous utilisons.

Il nous faut revenir au bons sens et savoir-faire une addition générale du système actuel qui ne pourra perdurer longtemps.

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