Paris, dans la fournaise du métro

On ne peut pas dire en même temps que le virus circule par contact et dans l’air, et en même temps nous dire que dans le métro, il n’y a pas de risque grâce à un masque qui n’est qu’une passoire aux particules microscopiques.

Un masque est fait de matière qui ne peut pas empêcher le passage de micro ou de nano particules.

Alors, que faire ? On ne peut pas arrêter les métros, les conséquences seraient trop lourdes mais on peut faire en sorte que les métros soient utiles contre la COVID-19 en plaçant partout, dans les voitures du métro dans ses couloirs, des lampes à ultraviolets qui neutraliseront le virus.

Le métro est indispensable, alors, prenons les mesures indispensables. Terrassons la COVID-19 là où elle existe, osons faire le nécessaire tout de suite contre la COVID-19 comme pour demain la grippe.

Les autorités savent très bien que le métro est un centre de diffusion massif mais sont-elles assez courageuses pour prendre les décisions qui s’imposent ?

Demain, on nous dira, « on n’y peut rien, on a tout essayé ». Ce n’est pas vrai. Dire qu’il faut se laver les mains plusieurs fois dans la journée et ne pas mettre d’eau pour les laver, correspond à ne pas mettre de lampes à ultraviolets dans les couloirs ou dans les voitures du métro.

Tout ceci n’est pas cohérent. Il faut agir. Il n’est pas question d’arrêter le métro, alors, il faut l’utiliser comme moyen pour mettre à mal la COVID-19. Nous savons le faire, alors pourquoi ne pas le faire ?

L’économie a ses exigences, la maladie aussi. Il faut y mettre fin à moyen terme.

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