Ce n’est pas seulement les taxis de Paris de 1914 qu’il faudra utiliser pour la guerre contre le Covid-19.
Tous les jours, nous sommes près de 30 millions à utiliser notre voiture, à utiliser les camions, les camionnettes, les trains, le métro, les bus et l’avion. L’heure est venue de se servir de ces outils mis à notre disposition.
La voiture est probablement l’outil dont on se sert le plus souvent en hiver pour aller au travail, pour aller prendre le train, pour aller à l’aéroport, pour conduire ses enfants à l’école. Nous y passons près d’une heure chaque jour et parfois plus. Et pourquoi ne pas s’en servir pour éradiquer tous les virus ?, sans exclure les camions.
Une voiture, ou un habitacle, peut être chauffée entre 35 et 40° sans problème. Elle peut être équipée sans difficulté de lampes à ultraviolets intermittentes.
Et tout ceci viendra s’ajouter aux couloirs sanitaires que j’ai proposés pour les métros, les halls de gare et d’aéroport, pour les avions également et, éventuellement, à l’entrée des supermarchés.
Voilà tout un arsenal qui sera utile, voire déterminant, d’utiliser entre le mois d’octobre et le mois de mai. En fait, nous nous mettrons dans les mêmes conditions qu’au soleil dont nous connaissons l’efficacité.
La lampe à ultraviolets ne sert qu’à compléter et accroître mécaniquement la chaleur et nous savons aussi que le Covi-19 exposé à des rayons ultraviolets ne peut vivre que quelques minutes.
Au fond, ce que je propose est à la portée de tout le monde, de tout un chacun, en France comme dans tous les autres pays du monde, dans les avions qui les traversent. Dans les trains : où est le problème ?
Ce ne seront que des armes de dissuasion mais quand le virus voudra attaquer, il les trouvera en face et ne pourra survivre et je dirai même qu’il n’essaiera pas d’attaquer.
Le coût de cette opération sera vraiment ridicule, en tous cas très loin des 500 milliards, voire les 1 000 milliards qu’aura coûté le Covid-19.
Et je suis révolté quand j’entends des médecins, des professeurs ou autres, dirent qu’on va s’habituer à vivre avec les virus. Il n’est pas question de laisser aux virus la moindre place dans notre vie.
Dépister ? Pourquoi pas, mais cela nécessite que le virus soit déjà là ou qu’il soit déjà passé à l’attaque. Ne pensez-vous pas que d’éviter, c’est mieux, en sachant bien que la grippe est aussi un virus ? Pourquoi ne pas l’éviter, elle fait tout de même 10 000 morts chaque année parmi les jeunes comme les moins jeunes.
Il va de soi aussi que ce dispositif doit être immédiatement mis en place dans toutes les EHPAD de la même manière que l’on a installé les climatiseurs pour l’été.
Voir grand avec de grands projets, avec des vaccins qui peut-être n’arriveront jamais ou ne seront jamais celui qu’il faut. Pourquoi ne pas utiliser ce qui est à notre disposition, sans tambours ni trompettes ?
Et je profite de l’occasion pour dire qu’on ne s’habituera pas non plus aux cancers ni aux grandes maladies. Cela fait bientôt cinquante ans que cela dure et c’est vraiment trop. 220 000 morts en France, chaque année, depuis 50 ans !
Vous me direz qu’il faut bien mourir un jour, mais j’ai posé la question à un de mes frères qui était franciscain, peut-être plus proche de Dieu : « pourquoi ne veux-tu pas mourir puisque c’est si beau là-haut ». Il m’a répondu tout simplement « on n’est pas pressé » !
Alors, prolonger la vie, c’est pour moi un devoir et je pense que c’est aussi celui de tous les citoyens, je crois même que c’est leur désir le plus cher !
En attendant, mettons rapidement en place, je dis bien rapidement, en deux ou trois mois, la totalité de la prévention que je demande et il n’y aura plus de Covid-19, ni d’autres virus, ni d’autres maladies.
J’entends déjà dire « il est fou ce Leclerc » ! Alors, dites-moi que je me trompe et prouvez-le.