Toutes les religions nous apprennent qu’après la mort on va au ciel, peut-être ?
Pour l’instant, c’est la mort qui vient du ciel.
Le froid, le chaud, les variations de pressions
atmosphériques, viennent tous du ciel. Il est beau de voir un ciel bleu avec un
soleil qui nous réchauffe. Il est beau de voir une nuit avec un ciel étoilé,
mais l’un et l’autre ne sont pas sans conséquence.
L’Ankou qui va et qui vient, toute l’année, prévenir d’une
mort et emporter la vie dans sa
charrette, est une représentation bretonne légendaire mais cela démontre que
nos ancêtres connaissaient la cause des maladies, de la vieillesse, des
cancers.
On dirait la même chose des rapaces qui planent au-dessus de la mort, à la recherche de nourriture. Comment peuvent-ils le savoir ? Quand un animal meurt dans la nature, mais avant cette mort , les rapaces sont là. Comment le savent-ils ? La nature a beaucoup de choses à nous apprendre. Probablement bien davantage qu’un laboratoire.
Cela fait des siècles que l’on sait qu’il y a quelque chose
dans le ciel qui provoque la mort ou, plus exactement, quelque chose qui
s’accapare de notre énergie et qui, un jour, reprend la vie que la nature nous
a prêtée.
Je voudrais que nous, humains, nous mettions un filet ou un
grillage, comme on en met dans les poulaillers pour empêcher les rapaces
d’emporter les poussins.
Oui, humains de tous pays, nous devons nous protéger de la
mort en protégeant la vie.
C’est ce qui m’a conduit à demander à tous de se protéger des
pressions atmosphériques comme on se protège du soleil ou du froid.
Ce filet que je vous propose n’est rien d’autre qu’un
régulateur de pression.
Arrêtons de qualifier et de quantifier les humains en
premier, deuxième troisième et quatrième âge.
C’est une habitude, c’est la fatalité. Il faut y mettre fin en
protégeant notre énergie, en assurant la continuité permanente de notre
circulation sanguine.
Et cela est valable, dès la naissance, au berceau. Ce n’est
qu’un jeu d’enfant, si efficace qu’il rendra heureux les enfants et les
humains.
On a bien pris l’habitude de se mettre sous un parapluie
quand il pleut, de se mettre à l’ombre quand le soleil brille ; alors,
brisons nos habitudes et protégeons-nous également des pressions atmosphériques
qui sont la seule cause de toutes nos grandes maladies.