Nous voilà de retour de vacances, bien méritées. Que va-t-on retrouver ?
Une guerre, un conflit social, un COVID qui va se réveiller ou tout simplement un pays où les dirigeants attendent un miracle. Il ne nous faut pas être pessimistes mais il nous faut raison garder.
Nous voilà au salon du bricolage : on tente de réparer les boyaux du vélo par un chèque par ci, un chèque par là. Les vraies mesures que l’on se devrait d’appliquer vont probablement se transformer en demi-mesures, sans intérêt car la demi-mesure ne produit jamais le résultat d’une vraie mesure.
Les vraies découvertes sont là et ne demandent qu’à être appliquées en essayant de mettre notre incrédulité sous le boisseau. Dans la vie, rien ne va jamais aussi mal qu’on le croit mais rien ne va aussi bien qu’on le pense. Crier dans les rues, manifester pour mieux vivre avec un vrai pouvoir d’achat, évacuer la peur, n’apporteront de vraies solutions que si l’on éradique les causes.
Moi, je propose de donner un peu de temps à ce gouvernement qui semble être compétent et crédible. Nous verrons, dès le mois de septembre, la voie qu’aura prise Mme Borne. Moins le Président s’en mêlera, mieux cela sera.
C’est un gouvernement de techniciens capables de comprendre des cas exceptionnels et des solutions exceptionnelles qui, il faut bien le dire, proviennent, pour quelques-unes, de la folie d’un Poutine qui se dit être le sauveur d’une population libre, indépendante qui, elle, s’est montrée d’un courage exceptionnel en disant non à la Russie.
Il va nous falloir avoir le courage de faire entrer l’Ukraine rapidement dans l’Europe et dans l’OTAN et, pour l’instant, de lui fournir les armes nécessaires pour repousser les troupes russes hors de ses frontières. Elle a aujourd’hui les missiles et les canons nécessaires. Il ne faudra pas crier le jour où elle lancera ses missiles sur la Russie : ce ne sera que la réponse du berger à la bergère.
La France a eu quelques chefs exceptionnels au siècle dernier ; ils ont redressé la France à chaque fois mais ils avaient été formés à la dure et non point seulement aux « diplômes ».
Est-il possible de sauver notre système de santé ?
Hormis l’accident, il n’y a pas de maladie sans cause, y compris pour les maladies orphelines.
Ce sont des agents extérieurs au corps humain qui en sont les principales causes, qu’il s’agisse de cancer ou de virus. Dans tous les cas, nous avons les moyens de les éviter. Alors, pourquoi ? Nous connaissons les causes, nous avons les moyens de les détecter et nous avons, dans 95% des cas, les solutions pour les éviter. Serait-on suicidaire ou complètement fou.
Au-delà des conséquences désastreuses, il y a, chez chacun d’entre nous, le désir de vivre en pleine forme, plus longtemps, sans vieillir, sans souffrir inutilement. C’est aussi le désir de donner le meilleur de soi-même à la société dans laquelle nous vivons, c’est aussi l’éloignement de la peur d’un futur physique désastreux. Faire du sport, bien sûr, pour son propre bien-être mais le sport n’évitera ni les cancers, ni les virus.
On ne parvient pas à l’excellence par le refus du meilleur mais en acceptant de faire l’effort qui est nécessaire. On naît tous égaux mais la différence apparaît entre ceux qui prennent le bon chemin et ceux qui se trompent de chemin. Le bon chemin serait de reconnaître les causes et les moyens, pour vivre longtemps. Le mauvais chemin est de nier les risques de la nature et d’être la proie des maladies.
A peine né, le combat commence à l’encontre des dérives de la nature et de sa production capable de vous terrasser. L’invisible pression atmosphérique est, probablement avec les rayons ultraviolets émis par le soleil, l’élément déterminant de notre vie.
Il faudra, de toute manière, tôt ou tard, faire le nécessaire pour éradiquer les virus et pour vivre quelques heures chaque jour dans sa chambre à coucher, à une pression normale de 1013 millibars, en combattant les dérives qui atteignent parfois 1040 millibars pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines.
Ce sont autant de coups de poignards qui nous sont donnés par la nature. Mais, attention ! Ce n’est pas seulement le cancer mais c’est aussi le risque de perdre progressivement la vue, l’ouïe et je dirais même parfois l’odorat. Tous ces organes, les yeux, les oreilles et le nez, sont traversés par des multitudes de micro vaisseaux que la nature tente de priver d’alimentation du sang et donc de l’oxygène.
Une fois encore, je supplie les dirigeants d’accepter l’évidence sans avoir besoin de confirmation.