Nous voilà au mois d’août

Que va-t-il se passer en créant la peur ?

Le Covid-19 en Bretagne, à Nice, en Gironde, est arrivé par des touristes, d’une manière d’ailleurs bien affaiblie mais tout de même existante. Les chiffres le prouvent. Les conséquences actuelles de ce virus ne sont pas comparables à la dangerosité du mois de mars.

On peut tout de même se poser la question sans froisser personne. Les scientifiques acceptent que le virus d’aujourd’hui soit quelque peu en sommeil et ils parlent du mois d’octobre pour une nouvelle vague.

A-t-on fait le nécessaire aujourd’hui pour éradiquer cette seconde vague ? Hormis les masques, qui sont une protection très aléatoire, rien n’est fait pour éradiquer le virus là où il se trouve pendant l’été, comme d’ailleurs pendant l’hiver.

Il n’y a pas deux solutions. A défaut de solution scientifique, il nous faut revenir à des solutions naturelles et, à ce jour, le soleil aidant, on peut dire que la chaleur et les rayons ultraviolets sont les seules solutions raisonnables pour éradiquer les virus.

Dès aujourd’hui, il faut placer dans les tous les lieux de réfrigération le seul moyen qui puisse éradiquer les virus, ce sont les rayons ultraviolets. Et la seule solution pour guérir ceux qui sont atteints, c’est l’utilisation de l’oxygène à 35° couplée d’une lampe ou un tube à ultraviolet placé au-dessus du malade et fonctionnant par intermittence, une minute sur trois.

Il faut une opération de grande ampleur pour détruire et non attendre en lui souhaitant la bienvenue pour son retour au moins d’octobre… C’est vraiment inimaginable que l’on ne mette pas la prévention en place.

On cherche par tous les moyens à discréditer la chaleur et les rayons ultraviolets, et pourtant, Messieurs, les Chirurgiens, c’est ce dont vous vous servez pour supprimer tous les virus et bactéries de vos outils chirurgicaux.

Je veux bien admettre qu’il n’y ait aucun essai clinique qui ait été fait, mais l’évidence me paraît plus sérieuse et plus raisonnable que tous les essais cliniques. Tous les scientifiques sont d’accord pour dire que le virus meurt à 60° et que seulement dix minutes d’exposition aux ultraviolets détruisent le virus.

Les masques, des tests, c’est bien, mais c’est déjà reconnaître que le virus est là.

Il ne faut pas non plus créer une psychose par la peur. En Bretagne, comme en Gironde, comme à Nice, le nombre de cas n’a pas rempli les hôpitaux et loin s’en faut, heureusement. Les infirmières ne sont pas débordées. Ce sont les résidus d’une maladie qui disparaît au soleil.

C’est une  guerre, nous a-t-on dit mais il a fallu une bombe atomique pour arrêter la guerre de 39-45. Aujourd’hui on arrêtera la guerre des virus par la prévention et par l’action partout où ils peuvent transiter, ou s’endormir, ou se développer pendant l’été.

Nous ne sommes pas des gens sérieux. Allez voir dans les aéroports, rien n’est fait, aucun contrôle sérieux, aucun couloir sanitaire, aucun sas sanitaire. On déroule presque le tapis rouge pour recevoir les étrangers sans savoir s’ils sont atteints. L’économie l’exige mais est-ce une bonne économie ?

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