Nos enfants ne veulent plus

Nos enfants ne veulent plus vivre comme nous, les adultes de plus de 40 ans.

Aujourd’hui, ce sont les enfants, demain les étudiants, puis les adultes qui sont dans la rue ou qui le seront, tôt ou tard.

Les enfants seraient-ils devenus l’Etoile du Berger, qui veulent être entendus et non plus seulement écoutés.

Ils veulent changer notre vie d’imbéciles, d’insouciants, tant au plan de la santé que de l’économie, et que de la société.

Dur, dur, pour nous, les parents, et nous leur demandons pardon d’avoir seulement suivi le chemin de l‘argent, de la spéculation et d’une médecine hors course qui ne conduit qu’à la mort.

Nos enfants veulent vivre en pleine forme et longtemps ; ils ne refusent pas le travail mais ne veulent plus d’un travail surchargé de taxes.

Ils veulent la mondialisation avec des règles identiques dans tous les pays. Ils veulent travailler à armes égales.

« Primum vivere, secundo philosophari ».

Nos enfants veulent découvrir et vivre autrement, que cela nous plaise ou pas, il faudra bien s’y faire.

Ils veulent vivre dans un autre monde.

Je leur dis simplement qu’avant tout, il faut d’abord une bonne santé,

une santé que l’on n’a pas su leur donner.

Et ce n’est pas dans la rue qu’ils la trouveront.

  • Oui, il faut donner la vie et une espérance de vie très longue et en pleine forme.

  • Oui, il ne faut plus que la retraite soit l’antichambre de la mort.

  • Ils ne veulent plus lutter en permanence pour vivre.

  • Oui, ils veulent qu’on leur donne la solution et les mécanismes qui les mettront à l’abri des maladies, de la vieillesse et d’une mort prématurée. 

  • Oui, ils veulent casser la baraque, ils veulent être entendus par une classe politique et médicale qui ne remplit plus sa mission et qui ne voit plus que l’argent dévastateur.

Donnons à nos enfants la possibilité de conserver leur vie, la vie qu’on leur a donnée et détruite aujourd’hui, jour après jour,

par la face cachée et dévastatrice de la nature.

Donnons-leur un autre financement social par une autre production,

par une autre productivité et un mécanisme qui permettra de faire des économies,

en commençant par la Sécurité Sociale où le coût des soins est aberrant.

Il ne le sera plus avec Hygée, le régulateur.

Il faut sanctuariser le travail. Il faut sanctuariser la santé.

On en a les moyens et les techniques.

Nul n’est prophète en son pays

Mais Hygée est la déesse de la vie et du bien-être. 

Je ne suis pas un prophète mais Hygée, la déesse fera mieux dans son pays et dans le monde.

Il fallait bien une déesse pour donner un ange gardien à l’homme.

Hygée, le régulateur, devra faire face à l’incrédulité et au doute parce qu’il est mathématique.

Mais on se sert bien toujours du théorème de Pythagore qui était grec, comme Hygée.

Hygée mettra au pilori les grandes maladies,

et au zénith notre puissance à vaincre les conséquences de la face néfaste de la nature.

Car c’est elle qui, avec les variations de pressions atmosphériques débridées

et tueuses de nos cellules, met fin à notre vie prématurément.

Hygée, le régulateur, réalisera tout ce que peut offrir une déesse de la vie et du bien-être.

J’ai choisi une déesse pour concevoir l’outil qui protègera notre vie en évitant

et en stoppant les agents destructeurs de cette nature.

Pour davantage d’explications, regardez le site  www.hygeeleregulateur.fr

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