Monsieur le Président, je suis désolé mais la vaccination ne résoudra pas le problème de la pandémie et tous les experts en pandémie en conviennent. Elle pourra éviter quelques morts, mais comme il y aura de plus en plus de cas de contamination dès le début d’octobre, il pourrait aussi y avoir davantage de morts.
Il faut aussi arrêter d’accuser les Français et de les diviser. La pandémie n’est pas l’affaire, ni des vaccins, ni des scientifiques médicaux, mais c’est l’affaire des techniciens pour éradiquer le virus et ce, d’une manière générale à 100%. Plus de virus, plus de morts, plus de cas.
Le virus, d’une manière générale, ce sont les dirigeants qui en donnent la solution par une immunité collective. C’est la philosophie de l’attaque contre le virus qu’il faut revoir, et tout de suite.
Même si les autres pays agissent différemment, c’est leur affaire, la nôtre est de protéger les Français. La vaccination est une machine à fric. L’éradication est l’affaire du plus pauvre au plus riche.
Les Américains ont utilisé la bombe atomique pour gagner la guerre. L’éradication contre le virus, c’est l’éradication par l’ultraviolet ou tout autre moyen mécanique qu’il faudra d’ailleurs utilisé selon les règles qu’impose l’ultraviolet.
PRENDRE UN RISQUE QUE L’ON CONNAÎT ET ÉVITER LE RISQUE INVISIBLE QUI VOUS TUE
La vie sans risque est monotone et n’incite, ni au progrès, ni au développement de notre imagination. En revanche, prendre des risques que l’on connaît et que l’on sait maîtriser permettra d’éviter des risques invisibles et inconnus à ce jour.
C’est vrai, je suis un homme à risque qui s’en prend toujours aux plus forts. Toute ma vie, j’ai pris des risques dans l’intérêt du peuple contre les puissants et, bien souvent, j’en ai payé un lourd tribut. Mais ces risques ont permis de voir autrement le présent et de développer le futur.
C’est ce que je ferai encore en ce qui concerne le monopole de l’énergie et le monopole de la santé. Toutefois, ce ne sont pas quelques-uns qui doivent profiter de ces risques que je prends, mais le peuple tout entier.
En s’attaquent aux puissants, il faut s’attendre à ramasser quelques paires de gifles, mais l’évidence finit toujours par triompher. Et aujourd’hui, je continuerai à m’attaquer aux monopoles même s’ils appartiennent aux puissants. Ce sera le cas du monopole de l’énergie et du monopole du Conseil de l’Ordre qui viole le serment d’Hippocrate en bloquant toute initiative, toute innovation qui ne leur rapporteraient pas.
J’ai 82 ans : aurai-je le temps de parvenir à la fin de ces monopoles ? Il me faudra dix ans pour faire comprendre les causes du cancer ou l’intérêt des microcentrales nucléaires.
Il me faudra dix ans pour que nous prenions le bon chemin, celui d’une énergie sans risque et d’une vie sans maladie. C’est ainsi que nous mettrons fin à tout ce qui est honteux dans notre économie et au plan sanitaire.
Au courant de toutes ces actions viendra s’ajouter l’accroissement du pouvoir d’achat des Français, non pas par des augmentations de salaire qui ne servent à rien mais par une baisse massive de tous les prix, produits et services, que nous consommons et que nous exportons.
Il ne faut pas toujours mélanger l’économie et le social, en revanche, il n’y aura jamais une bonne économie sans une bonne santé.