La mer est toujours soumise au flux et au reflux des vagues, provoqués par des attractions diverses.
Nous vivons toujours avec des vagues et, sur une mer calme, ses vagues nous bercent et nous endorment.
Il n’en n’est pas de même d’un tsunami qui s’enfonce sur les côtes et détruit tout sur son passage. Mais il ne revient jamais au même endroit et avec la même force car il est provoqué, lui, par un effondrement au milieu de la mer ou proche des côtes.
Ces tsunamis, on n’a jamais réussi à les éviter. A ce jour, toutefois, on a tout de l’information de les prévoir à temps pour évacuer les populations.
La COVID-19 semble provenir d’une fabrication de l’homme. Elle a peut-être échappé à ses gardiens ; c’est apparemment ce qui est arrivé. A l’origine de la COVID-19, il y a l’Institut Pasteur mais il y a aussi son annexe en Chine.
Bref, le tsunami ne provoque pas un virus mais c’est un simple accident. Il en est peut-être de même pour la COVID-19. Non, la deuxième vague n’existera pas et ne peut pas exister car si le virus a envahi le monde, il ne se reproduira jamais de la même manière.
Tout le monde convient aujourd’hui que le virus a perdu sa dangerosité : on dira qu’il a muté. Ce n’est pas certain. Partout où le soleil apparaît, la dangerosité du virus disparaît.
Entraîner et accroître la peur d’une deuxième vague est ridicule :
- le tsunami n’est jamais identique
- le virus n’est plus le même.
Il suffit de regarder les courbes, et elles sont sans appel.
Utiliser des moyens ridicules et absurdes pour empêcher les Français de vivre, entraînera des risques considérables sur leur système immunitaire.
Aujourd’hui, le virus se déplace sur une mini vague qui va disparaître au cours des jours à venir.
Cependant, il faut faire attention que l’action du soleil, aujourd’hui, ne sera plus la même au mois d’octobre et que le virus, où il se sera caché pendant l’été pour éviter de mourir, pourrait poursuivre son chemin si nous ne l’éradiquons aujourd’hui pas dans les lieux où le soleil ne peut pénétrer.
Allons !!! Reprenons notre vie de chaque jour qui est de gagner notre pain quotidien.
Ce qui s’est passé montre à tous la faiblesse de l’homme et l’incompétence de nos dirigeants qui n’ont pas eu le courage de prendre leurs propres décisions car c’était, en fait, celles des laboratoires.
En un mot, le médical a pris le pouvoir de capter nos consciences et nos vies.