Moscou bombardé
Et pourquoi pas ?
Le fil rouge est coupé. L’Ukraine, qui jusqu’ici a reçu les coups, peut en donner aujourd’hui. Rien ne lui interdit plus de bombarder Moscou.
L’heure est venue de demander des comptes à Poutine.
Aujourd’hui, Poutine fait le tour des popotes et se trouve en Tchétchénie pour demander armes et soldats. La Russie était la pire ennemie de la Tchétchénie, il n’y pas si longtemps de cela.
Le tsar tout puissant a aujourd’hui besoin d’un plus petit que soi ! Je ne suis pas certain que ce plus petit que soi soit empressé de faire la guerre que n’a pas su faire Monsieur Poutine. Quelle honte pour Poutine…
La Tchétchénie, la Corée du Nord, l’Iran et demain la Géorgie ! Mais où se trouve la Russie aujourd’hui pour être ainsi vulnérable et être obligée d’appeler au secours ?
Cela a déjà le mérite de démontrer que Poutine ne souhaite pas utiliser l’arme nucléaire.
L’Occident, mais aussi la Chine, ne sont pas très malheureux de voir Poutine se débattre et descendre de ce piédestal qu’il a conquis par le bluff et le mensonge.
Il faut remettre en cause le système social
Il faut remettre en cause, sans perdre un seul avantage, le financement actuel du social qui, dans le cadre de la mondialisation, ne peut plus survivre.
Loin de moi de retirer des avantages sociaux. Bien au contraire, mais notre système de santé est périmé. Soigner doit devenir éviter.
Il en découlera une autre vie, très longue, en pleine forme et sans va vieillesse qui n’est qu’un tabou.
Il faut remettre en cause le coût de la retraite qui, en évitant les maladies et en prolongeant la vie, se réduira de 50%.
On a fait des miracles dans l’espace mais, aujourd’hui, il manque un maillon pour aller plus loin : la durée de vie de l’homme.
La machine humaine n’a pas été protégée. On n’a pas assuré sa maintenance. On a laissé la nature la détériorer. Oui, il faut s’en prendre à la face destructrice de la nature et il faut la réguler.
Quand on lance une fusée dans l’espace, la moindre erreur peut tout remettre en cause. Il en est de même pour l’homme. L’erreur, pour l’homme, c’est d’avoir cru qu’on pouvait soigner au lieu d’éviter.
Aujourd’hui, nous savons le faire. Nous avons la technologie pour ce faire et à moindre coût.
Les médecins nous disent aujourd’hui ne pas y avoir pensé. Je veux bien les croire. Alors, agissons pour réparer l’erreur !