Les vents du nord apportent le froid et nous apportent aussi le développement des virus en abondance.
Les vents du sud nous renvoient les calories reflétées par les miroirs du désert dans la stratosphère. Ces vents du sud nous apportent déjà le sable du désert. En nous apportant les calories du désert, ils apportent le réchauffement climatique des zones tempérées et du pôle nord.
La pression atmosphérique qui varie de 980 à 1050 millibars ne peut être supportée, dans ses valeurs extrêmes, par le corps humain qui vit normalement à 1013 millibars, ce qui correspond la pression au niveau de la mer.
Au-delà de 1020 millibars, le corps est pris dans une presse de haut en bas et de droite à gauche. Cette pression excessive va couper la circulation sanguine dans les micro-vaisseaux et tuer des millions de cellules par défaut d’oxygène. Les cellules ne pourront pas être toutes absorbées par les macrophages ou les leucocytes et commenceront à former des micronodules qui vont grossir, grossir, et provoquer au final le cancer. Et tout ceci, dès notre naissance.
En fait, la nature bouleverse notre vie, elle bouleverse aussi notre futur vital. Il importe donc d’organiser, de réguler et d’assainir les espaces de vie.
Réguler, éviter, s’attaquer aux causes, réduiront les cas d’hospitalisation, les cas de cancers dans un espace de vie devenu agréable qui permettra de vivre mieux et plus longtemps avec un coût de la Sécurité Sociale réduit de 80%.
Ce que je propose peut paraître insensé et les Conseils Scientifiques n’y ont pas pensé. Oui, il faut respecter la science mais, comme la nature, elle a aussi ses dérives. Et la grande dérive de notre système sanitaire a pour cause l’argent.