Trop de médicaments est aussi dangereux que pas de médicaments.
En général, les médicaments sont faits pour compléter un manque ou un trop mais rarement pour détruire la cause. Le manque et le trop sont aussi dangereux l’un que l’autre.
Rétablir une constante, un équilibre, c’est rétablir le bon fonctionnement de la vie. Il est plus facile de rétablir une constante ou un équilibre mécaniquement que médicalement.
Doser un médicament relève de l’alchimie, réguler un déséquilibre relève de la mécanique.
Nous avons des détecteurs très définis qui permettent de réguler avec précision. C’est le cas des variateurs de pressions atmosphériques nécessaires dans un avion ou dans un sous-marin, sans oublier la nécessité pour tout un chacun, et chez soi, de réguler la pression atmosphérique.
Il est urgent de combler cet oubli destructeur de nos capacités physiques et intellectuelles.
Hygée le régulateur n’est pas une drogue, il s’attaque simplement à la cause et en supprime les conséquences.
Pas de piqûre, pas de gélule, pas de cachet, simplement une action extérieure à notre corps.
Le régulateur des variations de pressions atmosphériques règne en souverain dans notre espace de vie. Il maintient en permanence la réserve d’oxygène nécessaire à nos cellules et ce, en dormant dans notre chambre.
L’exportation, l’importation
Un pays qui exporte plus qu’il n’importe, progresse. Un pays qui importe plus qu’il n’exporte, régresse.
C’est le cas de la France aujourd’hui avec un énorme déficit de la balance commerciale.
Pour exporter, il faut être compétitif, qualitatif et commerçant. Pour importer, rien de tout cela, on se contente d’assembler en perdant le profit de la production.
On soustraite à des pays ayant des coûts de production beaucoup plus faibles que nous, en raison des salaires et des charges qui plombent notre économie.
C’est ce qui se passe avec la Chine, l’Inde et même les pays européens de l’est où le pouvoir d’achat est ridiculement bas.
Quels en sont les conséquences pour nous ? Davantage de chômage, davantage d’inflation. On régresse.
Serait-il possible d’obtenir la mise en place d’une compensation financière à nos frontières et de redonner au travail sa valeur ? Il ne s’agit pas de rétablir une nouvelle taxe mais simplement de donner au travail la même capacité de pouvoir d’achat dans tous les pays avec lesquels nous travaillons.
On pourrait peut-être appliquer ce dispositif pour mettre fin aux difficultés sur les produits agricoles et le textile.