Les maladies qui n’en sont pas

Le cancer, l’Alzheimer, le Parkinson, la maladie de Charcot, la sclérose en plaques, l’arthrose, le diabète, ne sont pas des maladies : elles ne sont que le dérèglement de la nature telles que les variations des pressions atmosphériques.

Elles dépendent toutes d’un même problème technique qui est  le blocage de la circulation du sang au niveau de l’alimentation des cellules en oxygène. Une variation de pression de quelques grammes suffit. On n’a pas idée de la faiblesse des nano vaisseaux qui sont le dernier échelon circulatoire au niveau des cellules.

Ce problème technique est donc bien extérieur au corps humain. Les cellules n’étant plus alimentées en sang et donc en oxygène, elles meurent au bout de 24 heures.

Si la pression supportable par le corps humain est une constante de 1013 millibars au niveau de la mer, le curseur peut être déplacé en fonction de l’altitude.

La pression atmosphérique se réduit d’un hectopascal (millibar) tous les 10 mètres d’altitude supplémentaire. C’est ainsi qu’à 250 m d’altitude, la pression supportable est de 983,58 hp.

Il faut bien se dire que le problème n’est pas la pression de base (en fonction de l’altitude), où vous habitez mais les dérives des variations de cette pression selon que l’on soit en hautes pressions (anticycloniques) ou en basses pressions (cycloniques).

En fait, tous les problèmes que l’on considère comme des maladies, n’en sont pas, ils ne sont que la conséquence d’un problème technique des variations de pressions atmosphériques.

Quand on a tout, on en veut encore plus

Prigojine est mort ; Poutine le sera demain.

La Russie est un grand pays, peu exploité, si ce n’est ses habitants… Pourquoi vouloir plus, au mépris de ses voisins ? La Russie a trois fois plus d’habitants que l’Ukraine. Elle possède un territoire avec des richesses inexploitées : c’est le plus grand pays, en surface, du  monde.

C’est, en fait, le manque de capacités intellectuelles à produire, à innover, à inventer, à découvrir, qui incite Monsieur Poutine à vouloir voler le savoir de ses voisins.

Poutine est un homme malheureux de ne pouvoir donner à son peuple les moyens que l’Occident offre à ses habitants.

Mais l’Occident fait-il ce qu’il faut pour que ses habitants puissent mieux vivre encore ? Pas si sûr à la vue du désastre sanitaire qu’elle subit, qu’elle crée parfois, au lieu de combattre les causes.

La France va peut-être reprendre enfin son titre de pays des Lumières par l’application de l’évidence en matière de santé.

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