Il n’y a plus d’éventuelles maladies mais il demeure d’éventuels malades.
Les prétendus malades d’aujourd’hui ne feront qu’un passage de quelques heures à l’hôpital. Le dépistage a augmenté le nombre des éventuels malades. Je ne crois pas que cette solution soit réellement efficace si ce n’est qu’elle engendre encore davantage de peur.
Dire qu’il y a plus de cas révélés est faux. C’est la conséquence du dépistage. Il n’y a pas, aujourd’hui, davantage de cas qu’il y a un mois. Au contraire, les cas avérés dans les hôpitaux continuent à se réduire. Mais pourquoi augmenter la peur ? On va finir par le payer très cher au plan économique.
Les politiques sont définitivement les otages des Conseils Scientifiques qui, à leur tour, sont puissamment financés par les laboratoires pharmaceutiques.
On ne peut pas accepter que ceux qui conseillent soient financés par des entreprises pour qui seul le profit compte. Il s’agit là d’un lobby qui prétend savoir, qui prétend imposer, mais qui, en fait, dit lui-même « je ne sais pas ».
Ces lobbies, ces organisations : l’OMS, le Conseil de l’Ordre, les Conseils Scientifiques, sont un Etat dans les Etats. Plus grave : ce sont des Etats totalitaires et dictatoriales dans des Etats démocratiques.
Ils sont payés pour tuer et non guérir ou pour éradiquer les maladies. Tout ceci n’est qu’une manne financière pour les laboratoires pharmaceutiques. Mais comment un homme comme Monsieur Macron peut-il ainsi en être l’otage ? J’espère que Monsieur Castex cassera le cycle infernal du mépris des politiques envers la société. Même les élus sont parfois contaminés.
Nous ne vivons plus dans un monde qui cherche et qui trouve mais dans un monde qui est payé pour ne pas trouver. On est en train de détruire notre démocratie. Nous voilà prisonniers de produits fabriqués en Chine et l’on continue à importer massivement depuis ce pays, ce qui lui donne encore un peu plus de force dictatoriale.
Il nous faut, Messieurs les politiques, libérer le système médical français de la puissance de l’argent. Ils sont des milliers de médecins qui voudraient soigner et guérir des malades mais ils ont, aujourd’hui, un chapeau qui est bien trop lourd à porter. : c’est un véritable franchiseur qui profite de ses franchisés pour faire fortune. Décidément, l’argent de la spéculation fait des ravages.
Et si cela continue, il n’y aura en France plus que des malades en puissance. Comment, dans ce cas, pouvoir faire une bonne économie ?
Quand je pense au cancer qui fait des ravages dès notre naissance, je me demande ce que font donc les chercheurs si je suis convaincu qu’ils savent ce qu’il faudrait faire mais qu’ils en sont empêchés par ceux qui ont pris le chemin de la chimie pour soigner le naturel. On ne pourra soigner le naturel que par du naturel si difficile soit-il à maîtriser et à réguler.
Nos gouvernements n’ont pas pris le bon chemin. Ils tergiversent, ils papotent sans savoir où ils vont.
Alors, on va me dire : mais la crise est internationale ! Peut-être, mais il n’était pas nécessaire d’importer le virus, à bas prix !