L’écrémage

Il y a plus de 10 millions de Français qui, aujourd’hui, supportent au moins une pathologie importante : cancer, problème cardiaque, Alzheimer, Parkinson.

Toutes ces pathologies réunies forment, avec le virus, un cocktail explosif et elles ont toutes un dénominateur commun qui est la faiblesse du système immunitaire. C’est donc ce dénominateur commun qu’il faut réduire ou reconstituer.

Là encore, il faut s’attaquer aux causes. Ce qui est navrant, c’est que le monde médical, aujourd’hui, n’est pas formé à éviter d’avoir à reconstituer ce système immunitaire.

Les médecins, les laboratoires, tentent de soigner, tout comme l’hôpital, mais personne ne cherche à éviter l’obstacle de la cause.

C’est l’argent criminel qui rapporte, pour un cancer comme pour une pandémie, ou tout simplement d’ailleurs, pour une grippe.

Il fut un temps où l’on cherchait à vivre dans de meilleures conditions sanitaires, à l’abri des intrus circulants. Aujourd’hui, on nourrit le virus pour qu’il puisse circuler à sa guise.

Il faudra bien, un jour, décidé de casser un maillon de la chaîne et nous avons les outils pour ce faire. On a l’habitude de dire qu’il faut avoir chez soi : une pince, un tournevis, un marteau, pour régler les petits problèmes journaliers de  bricolage.

Aujourd’hui, pour pouvoir brûler le virus, je demande de ressortir tous vos anciens radiateurs d’appoint soufflants avec leurs résistances rougies par l’électricité.

Ils peuvent brûler tant les ailes des insectes qu’éradiquer le virus :  ces micro intrus sont, en fait, très fragiles, et vous serez chauffés de surcroît.

Agissons de la sorte et cela peut être fait tout de suite et non reporté à l’année prochaine. Ne croyez-vous pas que ce soit un peu de bon sens tout simplement ? Et si le virus a coûté à la France  500 milliards, à vous, il ne vous coûtera rien avec ce procédé.

Pour pouvoir bien vivre, il faut déjà être en pleine forme, en bonne santé et être en pleine forme, c’est aussi être plus heureux.

Augmenter les salaires, distribuer les subventions

Augmenter les salaires, c’est créer l’inflation. Distribuer des subventions aux entreprises, c’est les conduire à la faillite.

Et pour l’État, c’est distribuer l’argent que l’on n’a pas et c’est donc créer une nouvelle dette qui flambe.

Augmenter le pouvoir d’achat, car, en fait, c’est ce qui est demandé, c’est baisser tous les prix de 15 à 20% en transférant toutes les charges qui pèsent sur les salaires, sur le budget de l’État. Accroître la production par des subventions, c’est simplement vider les caisses. Augmenter la production, c’est d’abord accroître les ventes, intérieures par le pouvoir d’achat, extérieures par des prix compétitifs.

Et qu’on ne me dise surtout pas que ce n’est pas possible car, en parallèle, il faut réduire le coût du social de 30% par un sanitaire rénové qui permettra de mettre fin aux virus et aux cancers. Et nous savons le faire.

Réduire le coût du social ne veut pas dire diminuer les services et les produits nécessaires.

Rénover notre système immunitaire dès la naissance est un impératif. Et si vous regardez le coût du social, près de 30% représentent le coût de la maladie, chez soi ou à l’hôpital.

Je me répète, il n’est pas question pour moi de réduire quelque avantage que ce soit de la Sécurité Sociale et autres, mais simplement, utiliser les moyens dont nous disposons pour éradiquer virus et cancers.

Il faut que tout le monde comprenne que salaire et pouvoir d’achat ne vont pas ensemble.

Le pouvoir d’achat doit être permanent et nous devons mettre en place les solutions pour éviter toute inflation.

Le coût du social ne doit pas se répercuter sur le coût des produits ni des services. C’est exactement comme si l’on voulait faire tourner la Terre à l’envers.

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