L’école, la faculté, les grandes écoles, ne peuvent être qu’un prélude à la
connaissance nécessaire pour une vie future jusque 150 ans.
La vraie école commence le premier jour où l’on va au travail. Elle doit se
poursuivre non pas de manière sélective dans l’entreprise mais avec
l’obligation de continuer sa formation dans des structures adaptées.
Aujourd’hui, la formation professionnelle complémentaire n’est pas du tout
adaptée au besoin de l’évolution des techniques.
Je pense que la mise en place de ma découverte donnera à tout un chacun
l’envie d’apprendre car cette découverte va renforcer notre capacité
intellectuelle et physique.
Il est trop facile d’utiliser un capital de départ qui va s’épuiser très vite, car il
importe de fructifier ce capital jusqu’à une retraite qui viendra, dès lors, à 90
ou 100 ans, et en pleine forme.
Et je suis convaincu que la retraite ne sera plus l’antichambre de la mort car on
continuera à être utile à la société sous d’autres formes.
Il faut réguler les éléments qi nous font vivre. L’école ne sera alors devenue que
le marchepied d’une épopée que l’on voudra vivre pleinement.
Pour notre vie sociale
Pouvoir vivre jusqu’à 150 ans en pleine forme va changer notre vie sociale,
notre vie familiale, notre vie sportive, notre vie active, notre avenir et celui de
nos enfants : plus rien ne ressemblera à la vie actuelle.
On pourra prévoir à long terme sans s’inquiéter des barrages successifs de la
vie tel qu’actuellement. On pourra même envisager de nombreux voyages dans
l’espace où le temps nous est compté.
Notre vie familiale se sera multipliée avec des enfants, des petits-enfants, des
arrière-petits-enfants. Il y aura des séries de générations successives à qui on
pourra toujours apprendre parce qu’on aura suivie les techniques.
Ainsi sera notre vie d’ici 5 ou 6 ans -ce ne sera pas d’ici 50 ans-, il suffira de le
vouloir.
Je ne connais pas une seule personne au monde qui soit heureuse de vieillir
d’autant plus que la vieillesse que l’on vit aujourd’hui n’est pas toujours
agréable quand on passe le cap des 70 ans.
On a créé des palliatifs du style EHPAD mais tout cela ne sera plus nécessaire.
Oui, il restera l’hôpital mais pour réparer l’accident. Oui, il faudra encore des
médecins qui auront peut-être changé un peu leur façon de travailler.
Cette vie sociale, elle ne sera plus rejetée mais on aura envie d’y participer.