Le monde scientifique ne pouvait pas ne pas savoir

Le monde politique a bu le petit lait secrété pas les scientifiques, sans chercher à comprendre.

Pourquoi la Corée a-t-elle équipé tout son matériel roulant ou volant, de lampes à ultraviolets ? A-t-on pris à ce point du retard face à ces pays émergents ? Comme toujours, on a préféré choisir la solution de facilité, c’est-à-dire celle qui conduit nulle part.

Le monde scientifique ne pouvait pas ne pas connaître les causes et ne peut toujours pas ne pas savoir. Le monde scientifique avait des solutions et a des solutions. Mais la solution que l’on propose n’est pas suffisamment lucrative.

Certes la solution n’est pas dans la Charte du Conseil de l’Ordre ou de l’OMS, elle est plus technique que médicale. Mais laisser ou faire mourir plus d’un million de personnes relève d’un crime contre l’humanité.

Quelques voix se sont élevées pour proposer des solutions plus crédibles que de soigner l’invisible. Les faits sont là, près d’un million de morts inutilement. Et l’on vient nous dire que l’on a appris à connaître la COVID-19 ! Ne croyez-vous pas que vous auriez dû le savoir ?

Les politiques se sont laissé prendre au piège du monde scientifique.

Eradiquer aujourd’hui, je dirai presque mécaniquement, relève peut-être davantage de la technologie que du médical. Mais voilà, là encore l’argent a tout détruit, y compris nos vies.

Le virus est venu de l’Orient, la solution et l’antidote viendront aussi de l’Orient devant notre incapacité à résoudre les problèmes. Et l’on s’étonnera que l’Orient veule s’accaparer de l’Occident. Il n’aura pas de grandes difficultés car la coquille est devenue vide.

Chercher pour chercher et chercher pour trouver, ce n’est pas la même chose. Je veux bien admettre que ce que j’ai découvert soit plus le fait du hasard que de ma science mais peu importe. De nombreuses découvertes ont été obtenues par hasard.

En fait, il y a ceux qui travaillent et qui apportent des résultats et il y a ceux qui cherchent, qui coûtent très cher et qui ne trouvent pas. Et c’est le contribuable, c’est-à-dire vous et moi, qui paye. En revanche, le monde financier et spéculatif a bien tiré son épingle du jeu.

Autrefois, il y a de cela quelques années, c’étaient les Etats-Unis qui réagissaient vite ; aujourd’hui c’est l’Orient qui réagit beaucoup plus vite, avec toutes les conséquences qu’il faudra en tirer. Devra-t-on se rapprocher de l’Orient pour avoir le droit de vivre ?

Pour les grandes maladies et le cancer, ce sera la mécanique qui résoudra le problème et pour une fois, ce sera la France qui mènera la danse.

Alors, soyons optimistes mais en attendant…, ne refusons rien de l’Orient.

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