Le savoir-faire dans les pompes funèbres

Bien sûr, il y a les professionnels, il y a le minimum de formation pour avoir le droit d’exercer. Le savoir-faire dans les pompes funèbres, c’est toutefois le professionnel qui le détient et personne d’autre.

Le savoir-faire dans les pompes funèbres
est un élément important de la valeur

Le franchiseur n’apporte que sa notoriété, faut-il qu’il en ait encore une, et quelques atouts d’un groupe. Beaucoup essaient de copier ou d’utiliser la notoriété de la famille LECLERC et de son concept. Tromper les familles comme les professionnels du secteur est aujourd’hui monnaie courante.

Que doit faire un franchiseur honnête ?

Le franchiseur est là – par sa notoriété – pour conduire les familles jusqu’à la porte de l’agence. Après, c’est l’affaire de l’opérateur avec des règles précises de prix et de qualités de services imposées par le franchiseur.

Le franchiseur est là aussi pour faire connaître au niveau nationale l’enseigne et ses particularités, pour utiliser les moyens modernes de communication ou apporter aux franchisés le moyen d’acheter moins cher les fournitures dont il a besoin.

Mais ce n’est pas cela que l’on appelle le savoir-faire.

Attention aux mauvaises maisons sans savoir-faire dans les pompes funèbres

Faire payer un droit d’entrée et des royalties sans assumer les conditions énoncées est une escroquerie vis-à-vis des franchisés et vis-à-vis des familles.

Etre franchiseur ne s’invente pas. Il doit apporter aide et assistance à ses adhérents. Il doit les défendre et non se servir d’eux. Il doit être le tuteur et le soutien du franchisé. Le franchiseur doit donner à son ambassadeur le moyen de développer son entreprise selon les règles qui a fait de son enseigne sa force commerciale.

Ils sont rares les franchiseurs qui apportent un plus à l’entreprise si ce n’est par des artifices de groupe. En fait, beaucoup de franchiseurs sont là pour prendre et ne rien donner. Ils oublient les fondements du savoir-faire dans les pompes funèbres.

Attention ! dans les pompes funèbres, un contrat doit avant tout être un contrat moral et un contrat terminé est terminé, avec toutes ses clauses. Vouloir empêcher un franchisé de se reconstruire parce qu’il n’a pas obtenu ce qu’il fallait de son précédent franchiseur, est une véritable escroquerie quand le franchiseur n’a rien fourni.

Le franchiseur n’a pas le droit de vie et de mort sur son franchisé. Quand il annonce au franchisé un non renouvellement de contrat, qui n’est pas à l’identique, toutes les clauses de l’ancien contrat deviennent nulles.

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