Le secteur funéraire change. Le métier des pompes funèbres, nécessairement, doit s’adapter.
Les charitables nous ouvrent la voie
« Je ne demande pas de revenir au temps des Charitables qui existent toujours dans l’Est de la France, mais aller dans ce sens serait un bon début. »
Michel Leclerc
Il y a bien des systèmes qui défendent les intérêts des familles. Des prix compétitifs, des produits de qualité et un service haut de gamme. Si tous les métiers des pompes funèbles s’unissaient dans cette direction ce serait, dès lors, la fin rapide de la spéculation dans ce secteur d’activité. Ce serait la fin de tout ce petit monde pour qui la famille n’a aucun intérêt si ce n’est de la servir financièrement.
Je pense que mettre de l’argent à fonds perdu, ce n’est pas l’habitude des financiers et des banques ; ils feraient bien d’y penser. De toute manière, la spéculation sur la mort c’est la mort de la spéculation.
Les innovations que nous préconisons dans le secteur funéraire prennent forme et ne tarderont plus à voir le jour dans le seul intérêt des familles.
Les crématoriums disparaîtront dans un délai maximum de 10 ans. Ils seront remplacés par la nouvelle technologie des sublimatoriums. Les cercueils en bois vivent leurs dernières années et seront remplacés par des produits biodégradables et composites.
Pour moi, je le dis et je le répète, la mort n’est qu’une séquence de vie et le départ pour un grand voyage qu’il nous faudra magnifier. N’est-ce
pas un grand projet que nous pourrions mutualiser ?