Le COVID a disparu de nos écrans

Il réapparaîtra dans quelques semaines, comme un orage de grêle et d’éclairs qui illumineront le ciel. La foudre frappera. Le cancer tuera. La variole du singe s’étendra. Et on finira par dire qu’il faut « vivre avec »…

Une fois encore, notre économie souffrira. Mais où sont les boucliers qu’on aurait pu espérer pour vaincre ces maladies, ou plutôt pour les faire disparaître ? Serions-nous trop nombreux pour que l’on accepte un génocide ?

Je m’y refuse car existe des solutions, exceptionnelles certes, mille fois moins lucratives que les prétendus vaccins ou toute autre potion  magique. Il n’y a pas que les laboratoires qui en profitent et qui font fortune : il y a aussi tous les spéculateurs qui sont aux aguets et qui sont heureux de voir la dette grandir et les taux d’intérêts s’envoler.

Quant aux États, ils sont si heureux de réduire leurs dettes par une inflation galopante… !

Ce qui devait être exceptionnel est devenu une habitude

On distribue, à qui veut bien les prendre, de multiples chèques qui sont, à présent, devenus une habitude.

On a le cancer : c’est devenu une habitude.

On a le COVID : c’est devenu une  habitude.

On a une dette de 3 000 milliards, qui pourrait d’ailleurs encore croître : c’est devenu une habitude.

On va donner des primes exceptionnelles de sécheresse ou d’inondations ? C’est devenu une habitude. Eh oui, on a transformé l’exceptionnel en habitude.

Vouloir transformer l’abondance en disette serait devenu aussi une habitude.

La France continuera à vivre mais qu’en restera-t-il ? Acceptera-t-on un nouveau monde avec de nouveaux chemins pour y parvenir ? Il en est quelques airs que j’entends par-ci par-là qui semblent donner de la voix. Ce nouveau monde ne se fera que par un chambardement de l’incrédulité et de la cupidité, et par l’arrivée du bon sens et de l’évidence.

L’exceptionnel est devenu une paume d’arrosoir à mille trous et on s’étonne qu’il n’y ait plus d’eau pour remplir l’arrosoir ?

On voit une Afrique qui est en train de se désintégrer, une Afrique qui, par le Sahara, est devenu la cause du réchauffement climatique. Mais cela n’est pas exceptionnel. On semble oublier que tout ce continent n’a pas droit à la modernité, ni à l’énergie. Et pourtant, s’il y a un pays où les panneaux solaires devraient fleurir, c’est bien en Afrique, mais les panneaux solaires ne sont que des intermittents.

Dans tout ce continent, il va falloir apporter la modernité de plusieurs milliers de mini centrales nucléaires au thorium construites là où il y a consommation.

Ne choisissons pas la facilité, construisons un nouveau monde. Ne cherchons pas toujours un prix minimum, mais cherchons à apporter un  plus à tous nos concitoyens, un plus, par la modernité, par la simplicité, par le travail.

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