La vérité sur la raison de la suppression des lignes aériennes à courte distance

La volonté affichée de supprimer les lignes aériennes à courte distance n’est pas la pollution ! La véritable volonté est celle de supprimer les lignes aériennes à courte distance pour rendre les TGV plus rentables mais aussi plus économiques… pensent-ils !

La vraie raison de la volonté de supprimer les lignes aériennes à courte distance
Honte de l’avion… en Suède

Les lignes aériennes à courte distance ne vont bientôt plus polluer

Dans trois ou quatre ans, les lignes aériennes à courte distance seront transformées en utilisant la propulsion à hydrogène ou à propergol si besoin. Ce n’est donc pas la pollution la vraie raison du tapage sur la question de l’utilisation des avions. Pas plus que la tâche d’huile qui est faite sur cette question en Suède avec le mouvement « flygskam » ou honte de l’avion en voulant développer le train sur des prétexte de CO².

De plus, les avions deviendront de moins en moins lourds car le poids de la charge de carburant, aujourd’hui nécessaire, sera divisé par 3. Un litre d’hydrogène remplaçant 3 litres de kérosène en terme d’énergie, comme nous l’avions évoqué pour les crématoriums.

Attention : ces améliorations écologiques n’excluront pas les importantes nuisances sonores.

N’y a-t-il pas une autre raison ? Les aéroports sont souvent loin des villes, ce qui nécessite un transport supplémentaire de la ville à l’aéroport, sans compter l’obligation d’être présent pour l’enregistrement deux heures à l’avance.

Tout ceci entraîne une préférence pour le TGV en gare centrale de la ville et qui arrive au centre de la ville de destination, sans attente à l’enregistrement et qui dessert éventuellement plusieurs villes sur son parcours. En conclusion, c’est le TGV qui est le plus rationnel. Il n’en reste pas moins que tous les moyens doivent être gardés.

Et la concurrence alors

Car le prix de l’un et de l’autre demeure, à ce jour, en concurrence : si on supprime l’un, l’autre aura le champ libre pour pratiquer le prix qu’il veut. Là nos politiques auront fait perdre à la France sa compétitivité.

Ainsi, en supprimant les lignes aériennes de courte durée, on se retrouvera devant un nouveau monopole, sans aucune concurrence réelle à moins que les Compagnies aériennes étrangères ne prennent le relais… Il faudra expliquer cela au personnel volant de notre compagnie nationale…

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