La pauvreté n’est pas seulement…

La pauvreté n’est pas seulement celle du manque d’argent mais celle des capacités à résoudre les problèmes.

Les immigrants n’existent que par la pauvreté des dirigeants à leur donner les moyens de vivre chez eux. Il n’y a pas de terre ni de sous-sol propre car un trésor y est caché.

Il y a un soleil pour tous mais, là-aussi, il faut en réguler l’usage. De l’eau, il y en a partout : il suffit de la pomper et de ne pas attendre seulement qu’elle vous tombe du ciel.

Les climats sont ceux qu’ils sont, y compris dans les déserts que l’on n’a pas su remettre en culture et reboiser. C’est la pauvreté de l’acceptation de tous ces éléments que l’on ne peut refuser.

C’est une migration qui n’est pas obligatoire mais c’est un choix de leurs dirigeants.

L’espérance viendra par la compétence de l’homme à réguler les constantes ou, plus exactement, les variations des constantes qui sont la conséquence de toutes nos misères.

L’exploitation des déserts est aujourd’hui possible et cette exploitation amènera aussi la pluie. Les conséquences néfastes des climats s’amenuiseront et la vie redeviendra normale dans ces régions.

Avant de parler d’argent qui s’évanouit dans les caisses des Etats, parlons simplement de réguler les variations des constantes. Au lieu de crier sans cesse « Europe, Europe, Europe », ou encore : « écologie, écologie, écologie », le climat nécessite d’abord d’utiliser les moyens dont nous disposons et tout redeviendra normal.

Le pape, le roi Charles III

Ils sont tous deux chefs d’une Eglise, tous deux ont des raisons qui se complètent.

Le problème des migrants a pour origine l’économie de leur pays : c’est l’incompétence de certains dirigeants africains mais aussi chinois, et de certaines régions d’Amérique, à faire face aux phénomènes naturels.

Si les dirigeants européens font des efforts, ce sont trop souvent des efforts financiers et ce qui manque à ces pays, ce n’est pas l’argent qui disparaît mais l’outil pour travailler, comme la canne à pêche est nécessaire pour pêcher.

En Afrique, c’est l’énergie électrique qui manque : donnons-leur des mini centrales nucléaires, donnons-leur des tracteurs et des moissonneuses pour récolter, donnons-leur des pompes pour récupérer l’eau des sous-sols.

Dans tous ces cas, il y a une solution, mais souhaite-t-on donner vie à ces pays africains ? N’a-t-on pas peur qu’ils deviennent des puissances dangereuses ?

Depuis le temps où nous connaissons ces pays, qu’avons-nous fait ? On leur a donné la liberté mais pas les moyens d’être libres.

Et pourtant, au risque de me répéter, il n’y aura pas d’Europe sans l’Afrique et il n’y aura pas d’Afrique sans l’Europe. Tous les autres pays qui prétendent aider ces pays, ne sont là que pour en profiter et les assujettir à leur politique.

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