La nouvelle bombe de Poutine consiste à tuer tout être vivant dans une zone dans un rayon d’un km2.
De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’une bombe qui explose à 400 ou 500 m d’altitude et qui absorbe tout l’oxygène au-dessous et au-dessus d’elle. Cette privation d’oxygène va durer quelques minutes, pour être vide comblée par la suite par les vents.
Cette situation nous interpelle et nous impose deux solutions :
- La fabrication de masques, proches des masques à gaz mais plus simples. Ils seront munis d’une petite bouteille d’oxygène liquide qui pourra fournir au corps l’oxygène nécessaire pendant deux à trois heures. L’ouverture de cette fiole se fera par un mécanisme automatique grâce à un détecteur d’oxygène solidaire au mécanisme. De l’oxygène, nous en avons des milliers de tonnes disponibles et encore davantage demain vu le besoin d’hydrogène pour nos piles à combustibles et qui s’obtient par l’hydrolyse de l’eau ;
- L’important sera de ne pas attendre demain pour préparer et fabriquer la totalité de ces masques par millions. Tout un chacun devra en avoir un. Ceci constitue une défense individuelle.
Il importe aussi, dès à présent, que chaque caserne de pompiers dispose d’une réserve importante d’oxygène qui pourra être répandue dans les plus brefs délais dans la zone attaquée. Là encore, il ne faut pas attendre demain que les premières bombes ne tombent. À partir du moment où nous aurons ce moyen de défense qui constitue, en fait, de la dissuasion, l’intérêt de la bombe de Poutine n’existe plus.
Il faut également savoir que la privation d’oxygène par la bombe n’est pas instantanée. Elle laissera le temps nécessaire à réagir dans un délai de deux à trois minutes.
Il ne faudra pas nous faire le même coup que les masques face au COVID. C’est dès aujourd’hui que chacun devra posséder ce dispositif chez lui, à portée de mains.
L’important, pour les casernes de pompiers, c’est de rétablir l’oxygène dans la zone concernée, le plus rapidement possible et nous comptons 20 000 casernes de pompiers en France ; elles doivent toutes en être équipées dans moins de six mois.
Autrement dit : à toute cause, il y a une solution. Celle que je propose dans le cas présent est naturelle, est économique, est efficace.
Poutine : sache que ta bombe, tu peux la mettre à la poubelle !
Je vous ferai remarquer, au passage, que dans les zones où se trouvent les centrales nucléaires, on distribue régulièrement des cachets d’iode en préventif. Ce que je propose en est le mode de prévention équivalent contre les éventuelles bombes de Poutine.
Si c’est cela son arme nouvelle et redoutable, il va en être déçu et nous continuerons à vivre normalement en ayant assuré la prévention et la dissuasion.
Que faire face à la nouvelle génération de bombe ?
Il ne s’agit pas d’affoler les populations et de les apeurer ; il y a toujours une solution.
Vous allez me dire que, pour fabriquer tous ces masques à oxygène, il faudra du temps. Si l’on s’y prend aujourd’hui, dans les six mois à venir, tout le monde peut l’avoir avec ses réserves d’oxygène. Un gadget, me direz-vous ? En tout cas pas plus qu’un masque contre le COVID…
Tout ceci à un coût et devra être distribué à la population tranquillement. Son coût sera de l’ordre de 50 milliards pour l’État mais la sérénité, la tranquillité, la liberté, la vie tout simplement, n’ont pas de prix.
Comme d’habitude, les autorités n’en ont pas pris conscience et ne réagiront que dans le temps… très certainement…
Non, Messieurs du Gouvernement, vous n’êtes plus à 50 milliards près pour sauver la France et les Français.
Je précise que l’utilisation de la petite réserve d’oxygène accolée aux masques pourra être en plastique et ne contiendra que quelques cm3 d’oxygène liquide. Un dispositif très strict doit faire en sorte que le contenu de la fiole ne puisse servir qu’en fonction du besoin de notre corps afin de ne pas brûler les poumons. Nos techniciens, nos ingénieurs ont su le faire pour les bouteilles de gaz ménager qui sont en plastique elles-aussi ; seul, le détendeur qui est dans le masque sera microscopique et en métal. Nos ingénieurs connaissent ce système.
