Une solution médicale qui permet de mettre fin aux cancers et aux grandes maladies en détruisant leur cause, mais qui n’est pas la découverte d’un génie du monde médical ou d’un grand laboratoire, va poser problème.
Et, pour parer à ce barrage, je vais me l’appliquer à moi-même et nous pourrons ainsi constater les résultats. Je suis persuadé que cette découverte doit être appliquée dès la naissance pour pouvoir mieux vivre, mieux produire et beaucoup plus longtemps.
Aujourd’hui, un médecin m’a envoyé un de ses patients et m’a dit : de toute manière, il n’en a plus que pour six mois selon nos données médicales. Il ajoutait : si cet homme survit, je vous garantis que cette solution deviendra mondiale. Aujourd’hui, cet homme est condamné, si vous le faites survivre par votre simple solution naturelle, c’est que les laboratoires n’auront pas fait leur travail.
Je lui ai simplement répondu que je ne savais pas ressusciter les morts mais qu’il était possible d’éviter la mort, tout au moins pour quelques dizaines d’années.
Personne ne pourra me le reprocher car je n’utilise aucun médicament, d’ailleurs, la médecine non plus : elle n’a strictement rien trouvé, même pas un vaccin. Quant au cancer, on laisse mourir les gens au fil du temps. De fait, on est arrivé à gagner du temps, souvent par mutilation, ce qui a bien souvent compliqué les choses.
En fait, je n’aurai aucun mérite si j’y parviens, car on dira, de toute façon : c’était évident.
Je l’ai déjà dit à plusieurs reprises : la nature a ses antidotes. A nous de les déceler et de les mettre en application. Notre monde médical n’a pas choisi le bon chemin et pourtant il fait des efforts.
Aujourd’hui, pour résoudre un problème, on dit qu’il va falloir travailler plus, plus longtemps et en étant moins payé ! Alors, est-ce cela, la solution ? C’est tout ce que l’on a trouvé ?
Messieurs les politiques, j’ai quelque peu honte de vous entendre parler ainsi. Je finirai par croire que c’est vous qu’il faut soigner. Cela évitera peut-être que beaucoup d’entre nous se suicident, faute d’incompétence de la part de nos dirigeants.
Je sais que rien n’est facile et le peu que j’ai fait, il m’a fallu 20 à 30 ans pour y arriver.
Il est certain que si, pour apporter une solution aux cancers et aux grandes maladies, il me faut encore 20 ans, il me faudra demander une exception à l’Eternel !
Mais on n’est jamais seul quand on fait quelque chose. Alors ayez confiance, les solutions se mettront en place, tôt ou tard, car il s’agit de rentrer dans un nouveau monde qui ne ressemblera pas à celui que nous vivons, un monde où l’on vivra bien, sans maladie, beaucoup plus longtemps et en pleine forme jusqu’au dernier jour.
Mais je ne me fais aucune illusion : il faudra s’entraider.
