Faute de faire le nécessaire en amont, on nous impose les masques très difficiles à supporter en temps de canicule. Ils devraient même être interdits pour les cardiaques et les asthmatiques.
Un masque c’est une véritable passoire mais c’est mieux que rien. C’est vraiment l’extrême limite de l’eau qui va pénétrer par votre porte le jour de l’inondation. Mais l’eau, rien ne l’arrête, le coronavirus non plus.
Aujourd’hui, on ne fait pas le nécessaire pour tuer le virus là où le soleil ne pénètre pas. On ne répétera jamais assez que le virus vit au froid. A partir de ce principe, il n’est pas difficile de voir où l’on crée le froid et je dirai même où l’on travaille dans le froid ; c’est le cas des abattoirs.
Plus grave, fait-on le nécessaire pour que les charters ne puissent pas faire débarquer leur passagers sans savoir s’ils sont atteints ou pas du COVID-19 ? Des décisions ont été prises et, je l’espère, appliquées : rien n’est sûr. Et ce ne sont pas seulement les grands aéroports qui sont concernés mais aussi tous les petits aéroports internationaux tels que le Bourget ou d’autres près de Versailles. Car le virus peut aussi monter à bord d’un jet de particulier ou d’un petit bateau de croisière.
Je reste persuadé que si le soleil a fait le ménage à l’extérieur, on continue à laisser se développer la COVID-19 dans une chambre frigorifique. Comme toujours, en France, on prend des demi-mesures, et l’on en voit le résultat…
Il faut tout de même remettre les pendules à l’heure. Oui, il y eu 30 000 morts que nous avons tués par erreur médicale. Mais on oublie un peu facilement les 220 000 morts, chaque année, en France, que la médecine est incapable de sauver, faute d’avoir recherché la cause, que nous connaissons aujourd’hui. Faudrait-il encore appliquer la solution.
Nous sommes un pays surprenant. Nous vivons avec un verre à moitié plein ou à moitié vide. Il paraît que ce n’est pas la même chose. Alors on fait des demi-mesures au lieu de prendre de bonnes mesures efficaces.
Il est évident que si notre Président attend les préconisations du Conseil Scientifique, il y a peu de chance que l’on s’en sorte…
Monsieur le président, il faut descendre dans l’arène et écouter les médecins et les chercheurs qui trouvent et qui trouveront encore davantage quand on ne mettra pas l’argent dans le cocktail.
Toutes les grandes recherches, toutes sans exception, ont trouvé les causes et les solutions grâce à des hommes en dehors du monde médical. Bien sûr, on a découvert le génome mais est-ce suffisant pour stopper les épidémies ? C’est bien de le savoir mais il faut que cela serve à quelque chose.
Allez ! L’orgueil fait plus de mal que tous les autres péchés capitaux qui ne sont que poussières à côté.
Le problème, Monsieur le Président, c’est que tout le monde compte sur vous, y compris à l’étranger. La France est une Bonne Mère mais elle est épuisée. Donnez-lui sa chance.