Faut-il encore que …

En tant de guerre, faut-il encore que l’aide parvienne à ses bénéficiaires. Faut-il encore que les obus et les missiles parviennent à leur cible.

En temps de paix, faut-il encore que l’oxygène, quel que soit son degré dans le sang, parvienne à nos cellules.

Que ce soit des barrages militaires, que ce soit de mauvais téléguidages, que ce soit les variations de pressions atmosphériques qui écrasent les conduits du sang, tout ceci n’arrive pas à un résultat positif. Il faut s’arrêter d’être irresponsable, il faut beaucoup d’ingéniosité pour faire sauter ces barrages.

Rappelez-vous de la guerre 39-45 : l’Allemagne bombardait les barrages hydroélectriques à la verticale mais sans efficacité. Par ingéniosité, les agresseurs ont fait ricocher les bombes sur le plan d’eau pour arriver à ce qu’elles explosent au pied du barrage.

Il en est de même pour l’alimentation de nos cellules en oxygène : aucun médicament, aucun dosage d’oxygène, ne servira à quelque chose s’ils ne parviennent pas à la cellule ; il faut être plus ingénieux.

La seule solution est d’empêcher l’écrasement du conduit qui mène aux cellules et ce, en régulant les pressions atmosphériques.

Notre corps est d’abord une architecture

Notre corps va fonctionner comme un moteur électrique qui est le cœur et qui ne peut battre qu’en se déplaçant dans un champ magnétique : celui du soleil et de la terre.

Il va se déplacer à une vitesse vertigineuse de plus de 40 000 km par jour, en suivant la rotation de la Terre. A cela viendra s’ajouter la vitesse à laquelle nous nous déplaçons autour du soleil.

A cette architecture viennent s’ajouter des milliards de cellules qui ne pourront vivre qu’avec l’oxygène, source de vie. Nous allons alors assister au même phénomène qu’un réseau d’eau potable et d’un réseau d’eaux usées, l’un par les artères, l’autre par les veines.

Mieux que cela : nous avons une usine de régénération de l’air que constituent les poumons. Le sang circule et, selon les pressions atmosphériques, la circulation du sang pourra être interrompue au niveau du dernier maillon des artérioles connectées à la cellule.

Tout ceci ne fonctionnera que si l’on régule la pression atmosphérique à la norme que le corps peut supporter.

En cas de rupture, sous pression hors norme, les cellules ne seront plus alimentées en oxygène et mourront au bout de 24 heures.

Plus grave, elles vont s’écouler dans les veines et, par leur décomposition, produire une substance nocive et délétère qui engendrera les cancers.

C’est la main de l’homme et son ingéniosité qui permettra d’éviter cette rupture en régulant ces pressions et en permettant ainsi une vie en pleine forme et très longue.

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