Faudra-t-il faire tonner le canon ?

La France industrielle est en réanimation. Faudra-il faire tonner le canon pour réveiller nos dirigeants et relancer le modèle économique de notre pays ?

Faudra-t-il faire tonner le canon
Il y a d’autres solutions que celles là

Faire tonner le canon le canon est de sinistre mémoire

Alors que le 75e anniversaire du Débarquement vient d’être fêté… Il se pourrait bien que nous dirigeants nous envoient vers de sombres destinées. La France est malade du coût de son travail. Les chirurgiens ne sont pas au rendez-vous de la mondialisation.

Attention ! On tire à boulets rouges sur nos usines. Elles brûlent et rien n’est fait pour éteindre l’incendie.

Nos dirigeants s’apparentent aux criminels ou aux terroristes qui aident la spéculation et l’empire de l’argent sans limite.

Messieurs, des familles, des enfants crient au désespoir : que faites-vous ?

Ne mélangeons pas les patrons qui travaillent souvent nuit et jour, qui s’engagent et qui se battent, qui se fatiguent. Je parle ici des dirigeants à qui seul l’argent faire entendre raison. Ah ! cette folie de vendre nos outils à ces spéculateurs !

La mondialisation est un tsunami que nous n’arrêterons pas mais que nous briserons, si nécessaire, par le canon. Non, nous ne laisserons pas le peuple de France à l’abandon.

Mais à qui donc cela profite-t-il ? L’urgence des urgences, c’est de produire plus avec tous les Français et ceux qui s’y trouvent temporairement. Non, la mécanisation ou la robotisation ne résoudront pas tout.

Demain, il sera trop tard

Le travail, ce baudet que l’on ne veut pas décharger n’en peut plus. Et pourtant, produire et vendre 2 à 3 milliards de plus par jour nécessite une baisse des prix de 15 à 20%. En vingt ans, nos exportations se sont écroulées. Français, réveillez-vous. Demain, il sera trop tard.

Politiques : c’est tout le potentiel humain que vous assassinez. Vous créez la peur et anéantissez le courage. Mais qui êtes-vous donc pour oser un tel carnage ? La démocratie ne s’en trouvera pas grandie.

Pourquoi, pourquoi ? Le peuple vous a fait confiance ; qu’en reste-il ? Je voudrais vraiment conserver une France libre, courageuse, démocratique, où il fait bon vivre… et vous créez l’enfer.

La France où les égos écrasent le travail : cela ne pourra pas durer bien longtemps. Nos usines ferment ; cela n’augmentera pas le PIB. Notre Grande Distribution est à la peine et risque de voir disparaître tout un pan entier du commerce.

A part cela, tout va bien.

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