En Ukraine, il n’y a qu’une issue à la guerre

La seule issue possible, en Ukraine, est de gagner la guerre face à un Poutine, véritable zombie ambulant.

Tout, absolument tout, doit être fait et livré sans la moindre hésitation.

Il faut que Monsieur Poutine quitte notre Terre sur une défaite. Les Russes doivent rentrer à l’intérieur de leurs frontières telles qu’elles ont été définies, il y a de cela plus de vingt ans.

Il faut mettre fin à un régime qui ose voler des enfants pour repeupler son pays.

Les Russes, voleurs d’enfants

La Russie a, à ce jour, volé deux cent mille enfants ukrainiens, et les a déporté de force dans son territoire. Pourra-t-on retrouver ces enfants ?

J’en doute. Cela ne sera possible que si la Russie devient un pays démocratique et libre.

Il faut que cette guerre se termine rapidement avec une condition absolue : la restitution des enfants.

Voleur d’enfants, voleur de blé, voleur d’industries : et on parle encore avec un tel homme ? Non, il faut en finir rapidement et mettre la Russie au banc des accusés, le temps nécessaire pour neutraliser son Président et ne pas laisser son copy-cat,  sans oublier qu’il faut mettre fin aux camps d’extermination comme ils existèrent entre  1940 à 1945.

Nous, Français, nous sommes partie prenante de l’OTAN. Nous sommes complices de ce qui se passe en Ukraine et, demain, en Pologne, en Moldavie, en Suède, etc.

Il n’y a pas de diplomatie possible avec Poutine. La Russie est aujourd’hui la copie de l’Allemagne de 1940, et l’on ne pourra pas dire que l’on ne savait pas.

Poutine a perdu un million de sa population, l’année dernière. Alors, il a décidé de voler les enfants des autres.

Tout est possible avec cet individu qui ne devrait même pas être Président. On ne peut pas laisser voler des enfants sans que l’Union Européenne et les États-Unis n’agissent massivement avec soldats et armement.

Monsieur Poutine a commis l’irréparable. Il doit en subir les conséquences.

Sur chaque station-service

Chaque station d’autoroute ou station importante à la sortie des villes, devra avoir sa mini centrale nucléaire de 30 MW, soit 30 000 KW, afin de pouvoir produire directement l’hydrogène nécessaire en carburant, à raison de 6 000 litres à l’heure.

Produire l’hydrogène sur place permettra de produire le litre à 0,30 €, en rappelant qu’un litre d’hydrogène égale 3 litres d’essence de gasoil.

On parviendra ainsi, très vite, à avoir 50% de voitures à piles à hydrogène dans un délai de l’ordre de deux ou trois ans. Mais, aujourd’hui, je parierai que l’État mettra suffisamment de bâtons dans les rouages pour protéger le lobby pétrolier.

Je ne demande pas que l’on supprime la TVA sur les carburants, mais je demande que l’on module la TIPP. Nous parviendrons ainsi, à la vente, à moins d’un euro le litre d’hydrogène qui permettra de parcourir trois fois plus de km qu’avec un litre d’essence. Ceci fera que le coût du km parcouru sera six fois moins cher qu’actuellement.

L’économie sur l’hydrogène permettra, dans un premier temps, de compenser rapidement le coût de la voiture à pile à hydrogène qui se réduire également très rapidement.

En une seule décision, on supprime le monopole de l’énergie, la puissance des pétroliers et nous reprenons notre indépendance vis-à-vis des fournisseurs de pétrole. Et, cerise sur le gâteau : on réduira la pollution de 50% car les stations-services pourront aussi livrer l’énergie électrique produite, dans un rayon de 20km, à tous les particuliers pour leur chauffage.

Les mini centrales nucléaires de 30 MW seront amorties en cinq ans et auront une durée de vie de 30 à 40 ans. Elles pourront d’ailleurs être remplacées en change standard par l’usine qui les fabriquera en série.

Il va de soi que ces mini centrales fonctionneront 24h/24h et nécessiteront un stockage tampon pour être performantes en période de pointe.

L’ensemble de ce matériel sera enterré afin de ne pas défigurer les paysages.

Il faut savoir, tout de même, que des centrales nucléaires produisent de l’électricité qui doit être transformée en hydrogène par un système d’électrolyse.

Tout cet équipement représentera, à 90%, le moyen de produire la consommation automobile et la combustion, nécessaires en France. Viendra alors l’époque où il n’y aura plus des camions-citernes sur les routes.

Il en sera de même pour toutes les grandes surfaces commerciales équipées de stations-services. Je sais que demain on va vers le moteur thermique à hydrogène mais rien ne changera pour les stations-services.

Restera à savoir si le poids d’une voiture sera plus ou moins important avec un moteur thermique qu’avec un moteur électrique.

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