Aller au charbon est méritoire

Aller au charbon est toujours méritoire. Se faire jeter de la locomotive au charbon n’est pas très glorieux…

C’est même désastreux pour la France qui va devoir suivre les sanctions économiques et financières à l’encontre de la Russie.

Tout ceci n’améliorera pas notre balance commerciale, ni ceux qui ont déjà des marchés avec la Russie, et ils sont plus nombreux qu’on ne le pense. Certes, cela ne représente pas des centaines de milliards, mais c’est quand même de l’ordre de 50 à 60 milliards.

La bêtise humaine a tout fait pour empêcher la Russie de rentrer dans l’Europe. Aujourd’hui, c’est la réponse du berger à la bergère et ce sont nous qui nous faisons jeter hors de Russie.

Même si la Russie n’a pas le régime démocratique que l’Europe souhaite, il eut été préférable qu’elle soit à l’intérieur de l’Europe. Il faudra bien comprendre, un jour, qu’il est préférable d’avoir chez soi celui qu’on mettra au pied du mur que de l’avoir contre soi.

Ce qui se passe aujourd’hui n’est pas rationnel, c’est un combat de coqs. Moscou dit : je ne veux pas avoir l’OTAN à ma frontière, mais si elle envahit l’Ukraine, elle aura, cette fois, toutes les forces de l’OTAN à sa porte !

Ce n’est donc pas un argument sérieux. En fait, la Russie est à présent dans une situation économique grave, le peuple gronde mais obéit, quitte demain à ne plus manger.

Mais, entre nous, le fait que Monsieur Macron soit allé en Russie et que cela se soit terminé par un combat de coqs, était à prévoir car Monsieur Macron, en France, n’est pas très loin du système de Poutine. Monsieur Macron, en ignorant et en critiquant les sans-rien, avait oublié que la Russie est peuplée de 50% de sans-rien. Il faut savoir se taire, de temps en temps, quand le glas sonne.

On s’est fait jeter du Mali et pourtant, on y avait mis les forces nécessaires. Là encore, ce n’est pas un problème de force, c’est un problème de sans-rien qui nous ont chassé de chez eux.

A force de jouer le rôle de l’aigle et en refusant de se mettre à la hauteur de ceux qu’on veut convaincre, on finit par tout perdre si l’on n’a pas l’humilité nécessaire à nos dirigeants.

Faisons bien attention à ne pas devenir la proie de celui qui est aussi orgueilleux que notre Président.

L’Ukraine est un pays riche, il va de soi que c’est la richesse de ce pays que Monsieur Poutine voudrait prendre pour apporter au peuple russe une nouvelle économie et redorer ainsi son blason.

Dans tous les pays du monde

Dans tous les pays du monde, l’enfant est sacré. C’est un sanctuaire intouchable, c’est un sanctuaire qu’il faut protéger.

Dès sa naissance, l’enfant que l’on voudrait protéger est soumis à une nature destructrice qui, dès le premier jour, entame son système immunitaire à raison de 1% chaque année. C’est ainsi que la pression atmosphérique, dès qu’elle dépasse les 1030 à 1040 millibars est la cause de la mort subite du nourrisson. Il est si fragile de constitution que la pression l’écrase.

Nos enfants subissent, durant toute leur jeunesse, un bombardement de la part de la nature, faisant de celle-ci l’ennemi numéro un de la vie. Il est vrai qu’elle est comme une pièce de monnaie qui, d’un côté, montre une image prestigieuse et, de l’autre, des chiffres tels que ceux que l’on trouve sur un baromètre.

Oui, la nature tue nos enfants à petit feu et, à vingt ans, ils ont déjà perdu 20% de leurs défenses immunitaires.

Les dérives de la pression atmosphérique ont bloqué la circulation du sang, parfois pendant huit à dix jours et nos petites cellules n’ont pas résisté sans oxygène. Et ces petites cellules mortes vont déjà se loger dans les organes filtreurs, faute d’avoir pu être éliminées.

En fait, ce sanctuaire que l’on veut offrir à nos enfants est plein  de failles qui mettent l’enfant dans une situation où il va déjà développer un cancer, un cancer invisible mais bien réel.

Nous sommes des inconscients et, tout du moins, nous refusons de voir la réalité. Dans le meilleur des cocons qui existe, la pression atmosphérique existe toujours et c’est elle qui est la plus dangereuse. Notre devoir est de fournir à l’enfant toutes les solutions qui existent, tant pour le protéger de tous les virus que de tous les excès de la pression atmosphérique.

Les solutions, nous les avons, et vous verrez ci-dessous les photos des mécaniques que l’on doit utiliser.

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