En Ukraine, il n’y a ni peste, ni choléra

En Ukraine, il n’y a ni peste ni choléra mais il y a quand-même le COVID et les cancers, mais avec la guerre, de surcroît.

En France, l’élection présidentielle est passée, les problèmes et les inquiétudes demeurent. Nous ne sommes pas les plus malheureux : d’autres se battent, mettent leur vie en danger et l’on vient nous dire que nous manquons de munitions dans un  pays qui peut en produire sans risques et sans être bombardé.

Un peuple se fait massacrer et on s’en satisfait, on regarde les coups donnés de part et d’autre. Mais quand comprendra-t-on que si l’Ukraine ne gagne pas sa guerre, c’est tout l’Occident qui s’enflammera ? Il est vrai qu’en France, Monsieur Macron nous a habitués aux demi-mesures.  Mais l’Ukraine ne demande pas l’aumône, elle demande simplement qu’on lui apporte aide et assistance. C’est le moindre que l’on puisse faire et non pas avec des miettes.

La lâcheté sera-t-elle le statut de notre nouveau gouvernement et de notre nouveau Président ? Oh, comme on est  bien chez soi en regardant à la télévision le massacre des saints innocents !

Et l’on ose dire que nous sommes encore une puissance, sans armes et sans munitions ! On a pris la voie de la diplomatie mais ceci rappelle les Accords de Munich en 1936  et 1937. Un cheval qui s’emballe, on l’arrête. Un chien enragé, on le tue. Et je demeure persuadé que pour sauver le peuple russe, il faut tuer Poutine car c’est  la guerre de l’orgueil qui cache bien les problèmes actuels de la Russie.

Poutine a voulu s’emparer de la banque ukrainienne, c’est un vol, même si c’était pour redorer le blason de la Russie. Cette guerre, comme toujours, a lieu  par intérêt.

Et quand viendra la victoire de l’Ukraine, on dira que c’est la nôtre.

Notre nouveau chef de guerre et des armées devra demander de l’argent à tous les Français pour aider l’Ukraine, pour sauver la France car l’argent que nous dépensons d’une manière insolente pour parer aux conséquences du COVID et des cancers, n’est  qu’une violation du bon sens et de l’évidence.

Les COVID et les cancers existent aussi en Ukraine, avec la guerre en plus : évitons qu’elle n’arrive chez nous et ne nous contentons pas de la soigner. C’est un peu trop facile déjà de se servir d’un peuple comme bouclier, il mérite beaucoup mieux que ce que nous faisons et que ce que nous lui offrons.

La guerre des cancers, la guerre des COVID, rapportent gros

Avec Monsieur Macron, ce sera bientôt la guerre de Cent ans alors que je n’ai pas entendu une seule fois le peuple ukrainien se plaindre.

Et nous, que faisons-nous pour en finir avec la guerre des COVID et des cancers ? En fait, faire semblant de soigner avec un hypothétique vaccin dont le corps finit par s’habituer, voire à le rejeter, rapporte beaucoup plus à quelques-uns que d’éviter la maladie, dans l’intérêt de tous.

On nous présente des milliers de chercheurs mais que cherchent-ils ? Ce qu’on leur demande et rien d’autre, c’est-à-dire de l’argent, non pas en évitant les causes mais seulement en soignant les conséquences. Ces chercheurs ne sont pas des dieux vivants et ils sont rares ceux qui ont cherché les causes qui détruisent l’humanité.

Que les Français se méfient d’avoir un prétendu vaccin qui un jour n’aura plus aucun effet car aujourd’hui c’est une dose tous les trois mois, demain matin, ce sera une dose tous les  jours. 

Et je reste perplexe sur les conséquences que ce prétendu vaccin aura sur notre système immunitaire.

Honnêtement, franchement, y a-t-il dans tout cela un brin de sincérité ? Soigner à répétition rapporte gros, éviter d’avoir à soigner ne rapporte rien si ce n’est la vie.

C’est ainsi qu’un jour viendront les révolutions et des têtes tomberont sous les yeux du peuple, sans que personne ne s’en plaigne.

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