Demain, on pourra avoir un détecteur de virus dans sa poche, en allant au supermarché et au cinéma. On vend déjà des tests mais des tests qui ne concernent que soi-même.
Le détecteur de présence de virus déclenchera l’alerte dans l’espace où vous vous trouverez, ce qui imposera à tous les directeurs de supermarchés, cinémas ou autres, de faire le nécessaire, en amont, pour que l’on se trouve dans un espace sain quand le client se rendra chez lui, faute de quoi, c’est un orchestre qu’on entendra dans le supermarché car tous les détecteurs se mettront en route en même temps.
« Ridicule », me direz-vous ? Nous tous, nous souhaitons garder la vie sauve ; alors, nous allons détecter autour de nous. Et le signal sonore du détecteur imposera d’être dans un air sain.
Que me vaut un tel courroux ?
- Est-ce le pouvoir qui ne souhaite pas la vérité et les solutions ?
- Est-ce un corporatisme puissant qui a peur de perdre son fonds de commerce ?
- Est-ce une jalousie d’un proche inquiet d’une découverte ?
Bref, je poursuivrai mon chemin et ferai ce qu’il faut dans l’intérêt de la France et de l’humanité. Je ne suis ni Dieu, ni le diable, ni un charlatan, simplement un ingénieur qui constate, qui cherche, qui découvre et qui veut imposer des techniques qui sont à notre disposition sans problème.
Utiliser les techniques ne me paraît pas être un crime car on ne touchera pas au corps humain. Mon seul souhait est de faire vivre plus longtemps, en pleine forme, sans fatigue, sans les affres de la vieillesse.
Ce que je propose n’a rien de miraculeux, c’est simplement le bon sens qui semble manquer à beaucoup. Ils sont tous dans un cauchemar dont ils n’arrivent pas à sortir ; je leur propose la porte de sortie. Et ce n’est pas moi qui sortirais. La science n’appartient pas qu’aux scientifiques, elle est à tous.
Conserver la vie n’est pas ressusciter les morts
Quoi de plus nature que de mettre les techniques au service de la vie, sans attendre le moindre miracle d’une molécule introuvable ?
Ce n’est pas être un charlatan, ni un magicien, il ne s’agit que du bon sens et de l’évidence.
Pouvoir vivre jusqu’à 120 ou 150 ans n’est pas une gageure, c’est une réalité. J’ai longtemps hésité à mettre ce dispositif de régulation des pressions atmosphériques au service de tout un chacun mais je pense, aujourd’hui, que c’est mon devoir de donner à chacun la possibilité de mieux vivre. Je n’ai jamais eu l’intention de ressusciter les morts, je veux simplement conserver la vie qui nous a été prêtée.
Nos dirigeants politiques et économiques vont devoir préparer cette avancée sur le plan économique, social. Cela représentera, certes, un certain bouleversement ; il faut donc s’y préparer.
Ce n’est pas le corps humain qui se détracte, ce sont des phénomènes extérieurs au corps humain qui le tuent.
On ne pourra pas m’accuser de faire de la médecine car je ne me sers, ni du corps humain, ni d’expédients qu’on peut lui injecter ou lui faire avaler. Je ne mets, en aucun cas, l’intégrité du corps en cause.
Ce dispositif sera ridiculement économique et je vais négocier avec les fournisseurs pour qu’il soit à la portée de tous.