C’est le funéraire qui m’a conduit à la cause.
C’est 50 ans de travail dans le funéraire qui m’a conduit à une découverte et à une invention qui feront le tour du monde.
Cette découverte, c’est la cause des grandes maladies et cette invention, c’est Hygée le régulateur qui évitera toutes les grandes maladies et en stoppera le développement chez ceux qui en sont atteints.
Et pour conserver toutes nos facultés, il faut commencer dès la naissance.
On perd 1% de notre système immunitaire dès la première année et chaque année suivante.
Il n’y a donc pas de temps à perdre : c’est le système immunitaire qui nous protège et qui évitera toute défaillance.
J’ai eu cette idée en constatant l’évolution des décès en fonction des pressions atmosphériques, hautes et basses pressions.
Cette expérience m’a conduit à la théorie des constantes qui règlent notre vie.
Pour exemple : la température interne de notre corps a une constante à 37°, et tout écart ne serait-ce que de 1, 2 ou 3 degrés, nous conduit à l’hôpital ; c’est le signal d’alerte d’une infection.
Il en est de même pour toutes les autres constantes qui nous font vivre.
La première et la plus dangereuse de toutes est celle des variations des pressions atmosphériques parce qu’elles tuent tout ce qui a la possibilité de vivre.
Elles tuent nos cellules qui sont des êtres vivants. En fait, elles nous tuent à petit feu.
Ces variations opèrent une rupture de notre circulation sanguine au niveau des cellules. L’activité de nos facultés en dépend, notre longueur de vie aussi.
Ma qualité d’ingénieur m’a permis d’apporter la solution sans remède, sans produit pharmaceutique, mais simplement en régulant une dérive de la nature.
Ce sont aussi ces variations qui vont couper, par rupture de la circulation, la production des globules blancs, la production d’insuline, la production de liquides synovial et cérébral.
On a su construire une bombe nucléaire qu’on appellera arme de dissuasion.
Le régulateur de pression atmosphérique est une bombe pour redonner la vie et une vie en pleine forme et très longue, sans vieillesse et sans maladie et ce, de la naissance jusqu’à ce que le moteur rende l’âme.
C’est pourquoi je peux dire aujourd’hui que je suis passé de la mort à la vie, par expérience.
Donner du temps au temps
Aujourd’hui, en France, le temps de vie est de 83 ans en moyenne pour les hommes et de 86 ans pour les femmes.
Pour prolonger cette vie, je me suis appuyé sur la théorie du dédoublement du temps, découverte par Monsieur Garnier-Mallet, ce qui m’a conduit à réduire de moitié le temps qu’il faut aujourd’hui pour produire un même objet ou un même service.
On dédouble le temps, il nous conduit à une vie à 180 ans et ce, dans des conditions en pleine forme, à l’abri de tout ce qui l’entrave.
En fait, il ne s’agit pas de maladie mais de tout ce qui entraîne ou conduit vers une maladie.
On ne vieillit pas par hasard ; on n’est pas malade d’un cancer par hasard et toutes ces séquences ont une cause qui entrave la possibilité mathématique de vie à 180 ans.
J’entends déjà les cris de tous, les doutes, s’opposant à cette révolution.
Peut-être : mais vivre nous appartient.
Et si la vie nous appartient, il nous faut l’entretenir en régulant les constantes.