Cette industrie funéraire va-t-elle rester française ?

Cette industrie funéraire comprend les fabricants de cercueils, de fleurs, de plaques funéraires, de monuments, etc., et, évidemment, les actionnaires des entreprises concernées. Aujourd’hui, ce sont des groupes financiers extérieurs, fonds de pension ou autres, qui sont propriétaires de plus de 50% du marché funéraire.

Une industrie funéraire qui cache d’autres intérêts

Michel Leclerc : « Les intérêts spéculatifs sont de nouveau en marche en France. Je ferai, en tous cas, tout ce qui est en mon pouvoir pour conserver française cette industrie funéraire. »

Il sera donc nécessaire que toutes les petites et moyennes entreprises se joignent à une enseigne porteuse et reconnue par sa notoriété. Cette enseigne est celle de Florian LECLERC, mon fils, qui doit se battre sans arrêt pour perpétuer la liberté funéraire.

Michel Leclerc : « Tous les autres ne sont que des exploiteurs qui profitent de la liberté funéraire que j’ai acquise et de l’appui de la finance peu respectueuse des familles dans ce secteur. Il est facile de profiter des familles en position de faiblesse ainsi que des contrats pré obsèques souvent surévalués et dont les excédents ne sont pas restitués aux familles. Il est fait en sorte que ces excédents du montant du contrat pré obsèques, soient comblés par la facturation de fleurs, accessoires ou de service non rendus. »

Une disparition que certains veulent programmer

Le résultat de tout ceci est la mort des petites industries françaises qui alimentent le marché funéraire, rendant impossible toute innovation.

Les spéculateurs s’organisent pour acheter à l’étranger, massivement, le matériel et les fournitures, que ce soit en Chine ou au Brésil, là où justement l’Etat français est en cause, car les charges qui pèsent sur les entreprises funéraires françaises ne peuvent les rendent plus compétitives.

Décidément, on retrouve le problème de la TVA sociale plus que jamais nécessaire pour les entreprises.

Il ne suffit pas de dire que l’on est contre les spéculateurs. Il faut agir en conséquence. Il faut agir contre l’achat des corps, contre les détournements de principe de la sérénité des contrats pré obsèques. Cependant, tout le monde funéraire n’est tout de même pas aussi lamentable que les spéculateurs heureusement.

Les achats effectués à l’étranger pourraient être intéressants s’ils étaient répercutés sur les prix de vente. Ce n’est pas le cas. Ils constituent tout simplement un supplément de profits.

Et dans tout cela, c’est la famille qui le paie et elle le paie d’autant plus facilement qu’elle est en position de faiblesse lors d’un deuil et incapable de se battre pour un prix.

Une autre voie pour toute une industrie funéraire libre

Aussi, c’est ensemble que les petites entreprises funéraires et les petites industries du secteur pourront survivre. Nous serons toujours là pour les défendre.

La liberté n’est jamais définitivement acquise. L’occupation étrangère est déjà en place dans cette industrie funéraire.

Michel Leclerc : « Il faut en France un bloc de résistance. Et je dis à tous les Français et toutes les familles françaises : ne vous laissez pas leurrer par ces spéculateurs insensibles à l’avenir des agences funéraires car leur seul objectif est leur profit.

Nous ferons tous les efforts nécessaires, comme je l’ai déjà fait en 1980 en rétablissant la liberté. Aujourd’hui, un monopole financier est en cours de reconstitution, ne baissons pas les bras, soyons toujours là dans chaque agence funéraire indépendante pour défendre l’intérêt des familles. »

industrie funéraire

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