Ce n’est ni à nous-mêmes et encore moins à nos enfants de se protéger ou de se faire vacciner d’une manière insolente et obligatoire.
C’est à l’État, aux industriels, aux commerçants, de faire en sorte que l’on puisse vivre sans risque dans des espaces sains libérés de l‘armée des virus et des dérives de la nature.
Pour une fois, l’État doit s’imposer à lui-même et imposer aux autres une solution matérielle, efficace et peu coûteuse, afin d’assurer la protection des Français, en général. L’État doit imposer l’éradication des virus avec les moyens dont nous disposons.
J’ai entendu dire par le Ministre de l’Éducation Nationale qu’il allait faire équiper toutes les classes d’épurateurs d’air. Mais pas n’importe lesquels, ceux qui tuent le virus par les ultraviolets, le filtrage n’étant qu’une solution, je dirai annexe, car on n’y fait que déplacer seulement le virus. Ce matériel, nous l’avons à notre disposition.
Il faut que la civilisation du virus sache qu’elle n’a pas sa place chez nous. On la détruira systématiquement là où elle se présentera.
Il n’y aurait jamais dû y avoir, ni de deuxième, ni de troisième, ni de quatrième vague, etc. C’est l’argent qui a guidé cette catastrophe. Nos scientifiques médicaux ont échoué. Nos scientifiques qui fabriquent les épurateurs et les lampes à ultraviolets, ont, eux, réussi à apporter les solutions pour éradiquer la totalité des virus.
Ce n’est pas ceux qui occupent, qui passent, transitent ou qui séjournent, qui rendent l’atmosphère qu’ils vont respirer, respirable. Il faut installer ces moyens d’épuration et d’éradication. Toutes les classes d‘école, de lycée, de collège, de faculté, doivent en être équipées dans les plus brefs délais. Il en est de même dans tous les supermarchés et espaces clos, cinémas et autres. Pour une fois, l’État peut l’imposer et tout le monde sera ravi.
L’État doit aussi financer les propres lieux qui lui appartiennent, où l’on passe et séjourne. Les industriels, les régions, les municipalités et tous les propriétaires de salles ou espaces recevant clientèle et citoyens, ont la responsabilité de recevoir ces personnes dans des espaces sains.
Utiliser la vaccination, pourquoi pas, mais c’est comme un orage à répétition. Il y a les éclairs, la pluie et il y a aussi les inondations, et pour le virus, le vaccin n’est que répétitif. Sa protection réelle ne dépassera pas 60%.
D’autre part, le dispositif que je propose pourra être allumé chaque fois que nécessaire sans avoir de nouvel investissement à opérer. Tout ceci pour la vie d’aujourd’hui et de demain.
Le monde médical a une longueur de retard face aux virus qui, eux, ont su évoluer et s’adapter à chaque pays.
Je ne suis contre rien mais l’on se doit d’utiliser tous les moyens à notre disposition sans violer le corps humain d’une manière répétitive.
LA FIN DE LA PANDÉMIE
La fin de la pandémie passera inévitablement par l’éradication du virus, par l’application du quantique, c’est-à-dire par la puissance des rayonnements. A tout rayonnement, tel que le virus, il faut opposer et superposer un autre rayonnement plus puissant que lui-même. Et l’expérience scientifique a démontré l’utilisation des ultraviolets pour se faire. Bien sûr, ceux-ci peuvent provenir du soleil… peu visible cet été, mais aussi des rayonnements produits artificiellement et installés dans tous les locaux clos, quels qu’ils soient.
Continuer avec le Pass, je dirai presque passe-partout, fait entrer les Français dans la fournaise du volcan ; c’est insensé.
De grâce, Messieurs, n’en faites pas un commerce !!! A chacun d’en tirer les conclusions : ce sera éviter ou soigner. En évitant le virus, on évite d’avoir à soigner.
Je suis étonné que l’on persiste dans l’erreur car il y a tout de même beaucoup de gens sensés en France ! Une fois encore, je dirai : à qui profite le crime ?