A la recherche de l’homme éternel

On a fait un pas de géant pour aller dans l’espace, on a fait un petit pas de nain pour conserver notre vie et la prolonger.

Il y a l’expression : «  la mort plane au-dessus de nos têtes ». On ne pensait pas si bien dire.

L’homme pourra-t-il devenir éternel si on ne le dégrade pas sans chercher les causes ?

Oui, aller dans l’espace, pourquoi pas. Faut-il encore vivre suffisamment longtemps pour rejoindre certaines galaxies. Mais qu’a-t-on fait pour y parvenir, à ce jour.

Nous avons, au-dessus de nos têtes, et autour de notre corps, une gaine rétractable qui se resserre selon les variations des pressions atmosphériques. L’homme s’est protégé du chaud et du froid. Il a oublié l’influence dévastatrice des variations de pressions atmosphériques.

Il utilise un masque à oxygène quand il est dans un avion de chasse ou qu’il descend au fond des mers. Mais, quand il a les pieds sur terre, il ne se rend pas compte qu’à 1040 millibars de pression atmosphérique, tous ses micro vaisseaux qui alimentent les cellules en oxygène sont obstruées et parfois pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines.

Ce phénomène met à mal nos cellules qui sont détruites, faute d’oxygène. Elles devront se régénérer avec toutes les conséquences sur l’énergie de l’homme.

Bref, il nous faut prolonger notre vie vers une solution éternelle si l’on veut conquérir les galaxies et y revenir.

Et c’est avec un petit mécanisme de la dimension d’une boîte d’allumettes, que l’on va pouvoir réguler cette pression atmosphérique à 1013 millibars, pression normale que peut supporter le corps humain. C’est la solution que je propose aujourd’hui avec Hygée qui en est l’outil à la disposition de l’homme et ce, sans dépenser des milliards !

Un scandale d’Etat : les 26 réacteurs nucléaires

Qu’il y ait 26 réacteurs, en panne en même temps, ne peut être le fait du hasard ou du COVID ! Je pense qu’il serait souhaitable de déclencher une enquête parlementaire pour en connaître les vraies raisons.

Cette faute nous a mis en situation de dépendance.

Mais qui en est la cause ? Certes, l’EDF n’a pas rempli sa mission. Il  n’est pas une entreprise au monde qui n’ait pas la possibilité d’avoir au moins suffisamment de pièces de rechange pour ne pas bloquer la production.

C’est vrai : Monsieur Macron a annoncé à qui voulait bien l’entendre qu’il allait réduire de 50 % la production de l’énergie nucléaire par rapport à notre consommation totale.

Si l’EDF a commis une erreur, le seul responsable est Monsieur Macron car, en fermant des centrales nucléaires, il mettait l’EDF dans la situation de fermer ses portes.

Aujourd’hui, on nous dit qu’il faut remettre tout en route, et il faut créer de nouvelles centrales nucléaires. C’est exactement comme si un agriculteur n’avait pas prévu la semence pour l’année suivante et comme s’il n’avait pas prévu de pièces de rechange pour sa moissonneuse-batteuse !

Cette absence de pièces pour les réacteurs nucléaires, y compris les cuves, coûtera dix fois plus cher à la société et à la France qu’un important stock de rechange.

C’est peut-être le moment de prévoir des mini centrales au thorium, à hauteur de mille unités, qui seront construites en usine, comme des voitures, avec un stock de pièces de rechange obligatoire. Des mini centrales qui pourront être installées sous terre (à l’abri d’une attaque aérienne potentielle), dans mille régions de France proches des lieux de consommation. Ceci évitera toute déperdition, que ce soit en transformateur ou en ligne à haute tension, comme actuellement.

Mais, comme toujours, il faut une tête de turc. En fait, ce n’est ni Monsieur Macron, ni le Directeur de l’EDF qui sont responsables, mais bien plutôt les écologistes qui n’ont prévu aucune solution de rechange. Et dans quel intérêt et pour qui ? Simple coïncidence ? Non : manque de vision du futur.

Les Français ont le droit de savoir car aujourd’hui ce sont eux qui subissent cette erreur et ce sont ceux qui ont commis ces erreurs qui doivent payer leur faute.

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