La trahison en Ukraine
Ce n’est pas celle de quelques individus mais celle de l’Occident tout entier qui, pour protéger sa liberté, se sert d’un peuple qui veut sa liberté et qui sert de bouclier à un milliard d’hommes et de femmes.
En refusant tout utilisation d’arme à longue portée, on trahit l’Ukraine. On veut bien lui vendre des armes à condition de ne pas les utiliser contre les Russes.
C’est pire qu’une trahison.
Par pitié, arrêtons cette trahison si nous voulons conserver notre propre liberté et donnons à ce peuple ukrainien, qui est prêt à se sacrifier, les moyens nécessaires pour mettre fin à cette guerre.
Ne revenons pas à 39-45.
Malheureusement, il y peu de Français qui, à ce jour, ont connu cette guerre.
Soyons courageux quel qu’en soit le prix.
Exiger, peut-être. Apporter, c’est mieux
Tous les partis politiques exigent leur programme comme si c’était des solutions miraculeuses en sachant très bien qu’elles ne pourront être que partielles car la situation actuelle de la France est dans une passe difficile.
Si, au lieu d’exiger, on apportait des solutions crédibles dans le cadre d’une économie mondiale en dépensant moins, surtout sur les causes naturelles et vitales destructrices, je propose ce qui sera une économie annuelle de 300 milliards et une productivité accrue de 50% d’ici 10 à 15 ans.
- Ce sera le temps nécessaire pour équiper tous nos foyers d’un régulateur de pressions atmosphériques, seules causes de nos malheurs.
- Ce sera un investissement ridicule qui pourra même être pris en charge par la Sécurité Sociale et par les mutuelles. Ce sera leur propre intérêt pour ne pas avoir à payer le coût des maladies.
Pour des économies gigantesques sur les maladies, sur les absences au travail, sur les pandémies et sur les cancers et pour une production accrue tout en conservant sa jeunesse au service de la France et jusque 100 ans.
Une santé pour une vie en pleine forme qui sera la mère nourricière de notre pouvoir d’achat et de nos retraites.
Tout le monde y trouvera son compte et peut-être avec l’aide de l’Exécutif de la France qui y trouvera, lui aussi, son compte.
