620 000 par an

En France, il y a 620 000 décès, chaque année, qui se répartissent de la manière
suivante :

  • Vieillesse : 300 000
  • Cancers : 220 000
  • Accidents de la route, du travail et ménagers : 60 000
  • Grippe, virus et divers : 40 000.
    Mon objectif est de parvenir, en premier lieu et en moins de 20 ans, à 350 000
    décès par an, en mettant fin aux cancers, aux virus, à la vieillesse et à toutes les
    maladies cardiovasculaires ou cérébrales.
    Deuxièmement d’accroître la puissance physique et intellectuelle de tout un
    chacun, de 50%.
    Troisièmement, de réduire de 80% la fatigue.
    Tous nos problèmes proviennent d’un affaiblissement de notre système
    immunitaire. Le moyen d’y échapper est d’assurer la régulation des pressions
    atmosphériques à son niveau normal et de combattre leurs variations. En fait, il
    faut éviter la destruction de milliards de cellules dès la naissance et chaque
    année.
    Je crois que nos scientifiques n’y ont pas pensé. Ils sont d’accord avec moi pour
    dire que l’on perd 1% de notre système immunitaire chaque année, mais ils ne
    disent pas comment éviter cette perte.
    Il faut comprendre que notre corps est constitué d’une centaine de milliards de
    cellules. Si on laisse ces cellules se détruire, il sera donc nécessaire de les
    reconstituer entraînant ainsi une fatigue générale.
    Le mieux est encore d’éviter de les perdre. C’est tout l’intérêt de la régulation
    des variations des pressions atmosphériques qui sont la seule cause de
    destruction de notre système immunitaire.
    Viendra le moment où l’on travaillera avec plaisir et où l’on profitera de la vie,
    toujours en pleine forme et pendant 150 ans et plus. On sera devenu ingénieur
    à 18 ans et médecin à 21 ans, et l’on n’aura plus perdu la moindre cellule.

Pour y parvenir, il va falloir vaincre l’incrédulité. En ce début d’année, on peut
peut-être faire un vœu, celui de bien vivre et plus longtemps et en pleine
forme.
Un rêve, me direz-vous ! Non, il fallait seulement y penser. Il fallait aussi penser
et accepter que la nature est destructrice tout autant qu’elle nous permet de
vivre.

On agit trop souvent

On agit trop souvent en fonction de ce que l’on croit et de ce que l’on pense.
On oublie ce que pensent ou croient ceux à qui l’on s’adresse, oralement ou
par écrit.
Toutefois, il y a des exceptions quand on met en cause des phénomènes
naturels et quand on essaie de combattre leurs effets néfastes.
Nos scientifiques recherchent l’infiniment petit mais ils ne recherchent jamais
la cause des effets de l’infiniment petit. Cette cause est devant nous, elle nous
éblouit.
On est persuadé, dans le monde scientifique, que l’on parviendra à donner à
l’homme un mieux vivre en soignant. C’est une erreur monumentale ; on ne
parviendra à faire vivre l’homme, en pleine forme et longtemps, que si l’on
régule les éléments destructeurs naturels au même titre que l’on souhaite vivre
à 20 degrés ambiants, au même titre que l’on s’est protégé d’une multitude
d’effets naturels.
On n’a jamais cherché les causes qui nous terrassent, qui nous fatiguent, qui
nous font vieillir. Et pourtant, c’est si simple : un mini régulateur de la taille
d’une boîte d’allumettes résoudra le problème.

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