Avec 15 millions de français contaminés et 126 000 morts, en France, peut-on être fier de son bilan et ce, sans savoir ce qu’il en sera demain ?
Je sais que le pouvoir est entouré d’oracles et de diseurs de bonne aventure mais est-ce raisonnable de bloquer tout le futur en refusant de changer de stratégie ?
La stratégie du vaccin aura évité sûrement quelques morts mais est-ce suffisant pour mettre fin à la pandémie ? Il n’y a pas une personne au monde qui puisse en être satisfait. D’abord parce que ce n’est pas un vaccin mais un traitement mais aussi parce qu’on n’aura pas voulu croire un Français qui propose d’autres solutions, d’autres stratégies, tant pour les virus que pour les cancers.
Alors, vous allez me dire que les autres pays n’ont pas fait mieux. Est-ce une bonne raison ?
Depuis deux ans, j’ai proposé les antidotes provenant de la lumière et donc de la vie, pour éradiquer les virus. Les solutions sont multiples, il suffit de les adapter au temps et à l’endroit où l’on se trouve.
Au lieu de remplir les coffres-forts des laboratoires et de cramer la caisse, les tirelires étant devenues insuffisantes, ne pourrait-on pas, pour le moins, en cumulant vaccins et éradication, mettre fin à cette pandémie.
Sachez bien que tous les pays du monde nous suivront. Il ne s’agit pas de croiser le fer avec qui que ce soit, il suffit d’être citoyen, Monsieur le Président.
Éradiquer le virus partout où l’on se trouve, et demain sera un jour heureux. Quel bonheur de vivre dans un bien-être rétabli et, qui plus est, qui devra être identique en ce qui concerne les cancers.
L’application du concept gaulliste de demain
Le concept gaulliste, c’est avant tout un processus de dissuasion militaire mais aussi sanitaire et économique.
Le concept gaulliste réajusté, en raison de la mondialisation, c’est d’abord la vie, le bien-être des Français. C’est aussi fournir aux pays à qui on a donné l’indépendance, les moyens de leur indépendance. Il faut leur donner la canne à pêche pour pêcher, les outils pour travailler, le matériel pour cultiver, pour industrialiser, leur pays.
Le gaullisme, ce n’est pas le rejet de l’autre, c’est donner à chacun la possibilité de rester et de vivre dans le pays où il naît. C’est résoudre le problème des déserts qu’il faut remettre en culture. C’est résoudre l’émigration vers des pays voisins. C’est résoudre le problème du réchauffement climatique. C’est le rôle de la France et de l’Europe : c’est ce qu’a voulu le Général de Gaulle.
Aller vers les étoiles est glorieux mais il faut se rappeler que, sans l’étoile soleil, la lumière, il n’y a pas de vie possible. On peut toujours chercher une alternance à ce qui se passerait si le soleil venait à disparaître mais, pour l’instant le moteur mondial tourne : c’est un moteur électrique tout comme notre cœur, un cœur qu’il faut protéger en mettant fin aux dérives de la nature.
Le gaullisme, c’est avant tout l’humain, c’est l’homme qu’il faut replacer au centre de notre système économique.
Et je sais qu’on est souvent seul, comme l’a été le Général de Gaulle et aussi les résistants durant la dernière guerre. Mais ce sont eux qui ont permis que la France reste la France. Aujourd’hui, il faut faire face aux virus et aux cancers. On sera souvent seul pour proposer des solutions, mais c’est cela le gaullisme.