Une check-list de pilote:
- On mesure le chaud et le froid et l’on vit à 20°.
- On mesure la température du corps : 37°
- On mesure sa tension artérielle : 13
- On mesure le taux d’oxygène dans le sang : 95
- On mesure les anticorps, ces petits soldats qui se battent ou qui se sont battus
- On mesure les battements de son cœur : 75
- On mesure le degré d’urée dans le sang….
Et combien d’autres mesures ? Personne n’a eu l’idée de mesurer la pression extérieure au corps qui varie de 980 à 1050 millibars.
Et pourtant, si personne n’y avait pensé, ces excès de variations sont la cause initiale du cancer.
Ce n’est pas un intrus, comme le sont les virus qui pénètrent votre corps, plus exactement vos poumons. Ils mettent, d’ailleurs, un certain temps à y parvenir.
Dans tous les cas que j’ai cités, on a trouvé la solution de réguler, excepté en ce qui concerne les pressions atmosphériques. Personne n’a pu imaginer que c’était la cause des cancers.
Tous les médecins et professeurs consultés m’ont fait la même réponse : on n’y a pas pensé.
Ce dérèglement des pressions atmosphériques correspond à un véhicule de deux tonnes qui vous écrase le corps.
On dira alors : il s’est fait écrasé.
Mais quand il s’agit de l’atmosphère, cet élément invisible, il n’y a que le baromètre qui permette de mesurer les pressions extérieures. Ce baromètre, vous le trouverez partout dans le commerce mais on s’en sert aujourd’hui uniquement pour voir s’il va faire beau ou pluvieux.
Eh bien, moi je vous le dis, et bientôt tous les médecins vous le diront, il faut réguler ces pressions qui vous écrasent et qui empêchent la circulation sanguine de se faire dans les micro vaisseaux.
La conséquence en est que les cellules de notre corps ne sont plus alimentées en oxygène. Elles vont mourir, et parfois en telle abondance que les anticorps ne pourront pas détruire les cellules mortes.
Les conséquences, on les connait. A la différence d’un virus qui détruit tout sur son passage et que les anticorps n’arrivent pas à arrêter, qui provoque, en fait, un cancer généralisé brutalement, les cancers ordinaires se construisent pendant des années mais ne vous empêchent pas de vivre pendant des dizaines d’années. Ils sont plus sournois ; ils se construisent à chaque fois qu’il y a une surcharge ou une dérive des pressions atmosphériques.
Pour le virus personne n’a vraiment cherché la cause, et encore moins la solution, hormis l’éventuel vaccin qui aura aussi des conséquences.
Bref, les virus auront tué 50 000 personnes cette année, et peut-être davantage.
Ils auront entraîné des conséquences économiques graves sans savoir d’ailleurs quand on se décidera à les tuer. Et pourtant nous savons le faire.
Pendant cette même période, 220 000 personnes sont mortes du cancer sans même éveiller l’attention de quiconque. Et comme le dit si bien le Président de la République, on s’est habitué à vivre avec.
N’est-ce pas une solution un peu facile ? N’est-ce pas une déduction un peu facile ? N’est-ce pas une habitude dangereuse ?
C’est ensemble que je vous propose de mettre fin ce à quoi les scientifiques osent répondre « je ne sais pas ».
Oui, c’est ensemble, en respectant et en régulant les lois de la nature, que nous éviterons et que nous soignerons toutes ces maladies. Et le résultat sera à 100% sans effet secondaire tandis que les vaccins ne seront qu’à 50 ou 60% efficaces mais avec des effets secondaires que nous ne connaissons pas encore.
Il y a une grande différence entre les deux solutions : la nature est gratuite, les vaccins, quant à eux, ce sont des milliards dans les caisses des laboratoires.
Et vous ne sortirez jamais indemnes avec des vaccins tandis que vous sortirez renforcés avec une régulation des effets naturels.