Pour ce faire, il faut détruire le mal à la source : un simple radiateur, à quelques centimètres de vous.
Cela vous permet de respirer à 30° durant quelques heures et la COVID-19 va mourir autour de vous et en vous.
Ce n’est pas moi qui l’affirme, c’est simplement le soleil qui a fait ses preuves l‘été dernier. Toutefois, même l’été dernier on n’a pas voulu éliminer les incubateurs de virus. Des incubateurs que l’on trouve partout sur le territoire français. Ces incubateurs ne sont rien d’autres que les espaces réfrigérés, entrepôts, chambres frigorifiques et autres. Et nous savons tuer le virus dans ces espaces-là avec des lampes à ultraviolets.
Décidément, on a l’impression que la pandémie a été voulue. Par qui ?
Je n’en sais rien mais le fait de ne pas la combattre me paraît inquiétant. La combattre, on y parviendra peut-être un jour avec un vaccin mais qui laissera des traces.
Quand acceptera-t-on que la nature soit plus forte que les vaccins ? Elle coûte moins chère et est plus efficace. J’entends dire tous les jours « vivement et qu’on arrive en été ». Et je réponds « être en été et ne pas éliminer les sources, cela peut les réduire, comme chaque été les sources d’eaux se réduisent mais ne disparaissent pas, c’est ne pas vouloir stopper définitivement la pandémie ».
La nature se régule souvent d’elle-même mais, de temps à autre, elle se fâche ; il faut alors la réguler.
Il n’y a jamais eu autant de frelons asiatiques en France qui se multipliaient à la vitesse grand V ; nous avons fait le nécessaire en détruisant leurs nids. Il faut agir de la même manière pour détruire les nids de virus et ceci, dès aujourd’hui, par une désinfection généralisée, par de la chaleur artificielle et par des lampes à ultraviolets.