Le nombre cas de virus décelés est proportionnel au nombre d’espaces réfrigérés, dans chaque pays.
Ceci est un constat pour tous les pays du monde qu’il y fasse chaud ou froid. Ils sont les incubateurs des virus en été comme en hiver et, à un moment donné, spécialement en hiver, il naît davantage de virus qu’il n’en disparaît avec le soleil.
En fait, le danger réside en hiver car en cette saison, le froid ambiant devient lui-même un incubateur.
Entre 0 et 10°, le développement est rapide, de 10 à 20°, nous assistons à un plateau et de 20 à 30°, le virus décline : il se met en situation de léthargie ou de coma. Car le virus est un être vivant. Ce phénomène est évident, excepté dans les lieux réfrigérés, hiver comme été, où le soleil ne pénètre pas.
Ceci est accablant. On me dira que dans les pays chauds, il y a aussi des virus.
Bien sûr mais seulement dans les pays où il existe énormément de chambres réfrigérées.
Et tout ceci, comme par hasard, suit les vagues de froid successives. C’est un constat qui m’a conduit à ce résultat. Il faut agir vite : nettoyer, désinfecter partout, ne servirait à rien si l’on ne fait pas le nécessaire pour neutraliser ces incubateurs. Rien de plus simple que de placer des lampes à ultraviolets dans tous les espaces réfrigérés, jour et nuit.
Bien sûr qu’il faut laisser ouverts les supermarchés, ne serait-ce que pour s’alimenter mais ne devront restés ouverts que ceux qui auront fait le nécessaire pour s’équiper et ceci doit être inclus dans les conditions absolues d’ouverture de supermarché. Il en est de même pour tous les restaurants, pour tous les marchands de fleurs.
Vérifier et vous verrez que tout ce que je vous dis est vrai.
C’est peut-être difficile à admettre mais, une fois de plus, c’est l’évidence.
Quant à la chaleur, elle donne toujours les mêmes résultats : si les virus meurent au soleil, les incubateurs continuent toujours, pendant ce temps, à permettre le développement des virus, hiver comme été.