Travailler contre son propre intérêt

Travailler contre son propre intérêt et celui de sa profession ne peut que crédibiliser la découverte que j’ai faite pour d’abord protéger la vie.

Personne ne sera contraint de rentrer dans ce nouveau monde.
Ce sera, une fois de plus, un choix, celui que j’ai toujours défendu, celui de
la liberté. C’est l’esprit de la famille Leclerc : être au service de la
population et des familles, d’abord.

C’est vrai, un jour ou l’autre, on mourra.  Mais gagner 20 à 30 ans d’une bonne vie, en
pleine forme, ce n’est  pas anodin.  Et l’on peut difficilement y rester
insensible.

Le grand voyage, personne n’est pressé… fut-il éternel.

Alors, vous allez me dire : vous ne faites que déplacer
le problème. ; c’est une façon de voir la vie. Ce que je vous propose,
c’est une autre façon de voir la vie. La vie est belle, surtout quand elle se
termine sans souffrance, sans les stigmates de la vieillesse, pour les hommes
comme pour les femmes.

Aujourd’hui, quand on pose la question à un médecin sur
l’explication des cancers, il vous répond : je ne sais pas.

Il est peut-être préférable de bien vivre sa vie que de la
subir d’autant plus qu’il y en a qui ne la subiront jamais parce qu’ils seront
morts avant.

Cette maladie s’attaque à tous, jeunes ou moins jeunes.
Certes, on la soigne, à quel prix et sans un résultat total. Il suffira
d’ailleurs de demander à votre banquier si, en ayant eu  un cancer, s’il est prêt à vous faire un crédit.

On parvient, de fait, à supprimer certains cancers par une
mutilation, que ce soit du sein ou de la prostate. On parvient même, selon un
médecin canadien, à percer lenodule et à aspirer ce qu’il y a à l’intérieur.
Tout ceci est très bien mais on ne supprime pas la cause. Et demain ce sera à
d’autres de subir les mêmes mutilations si l’on ne
supprime pas la cause.

Et ce qu’il y a de terrible, c’est que pour faire adhérer à
la cause, il faudra du temps et le temps, c’est 72 000 morts de plus
chaque jour dans le monde et 26 millions chaque année.

N’est-il pas nécessaire de mettre en place un plan
d’urgence ? Un véritable plan Marshall, pour que tout le monde puisse se
protéger des pressions atmosphériques. Et c’est un simple jeu d’enfant.

 Se protéger, c’est
aussi accroître votre énergie, tout au moins ne pas se laisser la dévorer
chaque jour sans le savoir.

Il  n’y a aura pas de
vaccination possible, ce n’est ni un virus, ni un microbe, mais on s’y est
habitué.

En France, protéger la totalité des Français, coûtera 10
milliards, une fois pour toutes et rapportera plus de 500 milliards entre
économie et accroissement de productivité. Je pense que c’est un bon
investissement, d’autant plus que ce profit durera tous les ans et nous
permettra d’avoir une nouvelle vision du monde et de notre avenir.

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