Se contenter de vivre 80 ou 100 ans n’est pas glorieux et depuis des
millénaires, on s’en contente. En quelques centaines d’années, on est passé de
50 à 100 ans.
Aujourd’hui, la régulation d’éléments de la nature que l’on a oubliés, permettra
de vivre en pleine forme au-delà de 150 ans. La vieillesse n’existera plus et
c’est toute la vie durant que l’on sera en pleine forme.
« Quel imbécile, ce Leclerc !!! ». « Il dit n’importe quoi ! ». « En êtes-vous si
surs ? ».
En fait, il n’y a que le Conseil de l’Ordre des Médecins qui ne le pense pas parce
qu’ils sont tous en retard d’un siècle.
C’est aussi exactement ce qui se passe aujourd’hui pour aider et protéger la vie
en Ukraine. Nos dirigeants n’ont jamais connu la guerre dans leur chair, dans
leur pays. Les laboratoires soignent mais n’évitent pas et ne cherchent pas à
éviter les maladies. Ils ont peur que la nature se venge mais, en attendant, c’est
la nature qui est le maître du jeu de notre vie.
Tous les problèmes naturels néfastes pour l’homme : le trop chaud, le trop
froid, l’orage, etc., ont trouvé des solutions dans la technique mécanique. Ce
ne sont pas les laboratoires qui ont trouvé les solutions, c’est l’intelligence de
Lhomme qui, face à la nature, cherche à se protéger.
À ce jour, il ne reste plus que les variations des pressions atmosphériques qui
tuent l’homme et que l’on n’a pas cherché à réguler.
Non, je ne me contente pas de vivre jusqu’à 100 ans. C’est tout simplement la
solution de ma découverte que nul ne peut et ne pourra entraver.
C’est peut-être la meilleure idée que Noël nous a apporté : l’enfant divin, c’est
l’éternité ; puisse-t-il m’aider à développer mon idée pour être plus proche
d’une vie éternelle.
Le pouvoir peut être puissant
Le pouvoir peut être puissant mais jamais autant que les idées qui font leur
chemin et parfois comme l’éclair.
Les États font tout ce qu’ils peuvent pour freiner les nouvelles découvertes.
L’État est faillible. Les idées qui prolongeront la vie, c’est aussi la vie de la
France.
Beaucoup ont renoncé à leurs idées, à leurs découvertes, faute de moyens.
Mes idées, mes découvertes, mes solutions, feront leur chemin dans l’intérêt
de la France et seulement dans l’intérêt de la France.
La spéculation n’aura pas de place. Pour moi, l’argent n’est qu’un outil et n’a
jamais été ma tasse de thé ; on me le reproche d’ailleurs bien souvent. Ce sont
des idées gaullistes qui ne cherchent pas d’étoile mais seulement l’intérêt des
Français dans leur vie, dans leur économie, dans un futur qui assurera pour
longtemps et pour tous, un avenir en pleine forme.
Même à mon âge, je ferai en sorte que les États finissent par accepter
l’évidence.
On me dira : c’était si simple, pourquoi n-y a-t-on pas pensé avant, c’était
évident.
Les combats que j’ai menés jusqu’à ce jour étaient, eux aussi, évidents, fallait-il
encore le faire. Car, à chaque fois, les spéculateurs se sont mis en travers. Mais
j’ai gagné. J’ai toujours été seul dans mes combats et ce n’est toujours qu’à la
fin de ces combats que les politiques se sont joints à la démarche.
C’est pourquoi je dis que le pouvoir est puissant mais les idées font toujours
leur chemin. J’ai cassé plusieurs monopoles : celui des pompes funèbres, celui
de la fixation du prix des carburants par l’État, celui du monde de l’automobile
qui voulait protéger sa spéculation.
Il me restait encore à mettre fin à un monopole : celui de la médecine qui est
un État dans l‘État. Il va bientôt prendre fin.
Ce ne sont pas les médecins qui sont en cause : ils sont pieds et poings liés face
à l’Ordre des Médecins. Ils exécutent ce qu’ils ont appris, ils ne cherchent plus à
éviter les maladies.
