On a sanctuarisé l’école et l’armée. Robert Badinter a aboli la peine de mort pour crime et délit. On se doit d’abolir la peine de mort par virus et par cancer.
Il faut sanctuariser notre défense immunitaire dès notre naissance par des moyens techniques et physiques qui permettront de neutraliser, hors du corps humain, l’ennemi qui est constitué par les dérives et les produits de la nature.
Nous avons les moyens de cette dissuasion par l’utilisation du mur de feu de nos radiateurs d’appoint électriques et soufflants et par la régulation des pressions atmosphériques, au moins pendant quelques heures par jour.
Il ne s’agit pas seulement d’éviter la mort mais de redonner à l’homme la possibilité de vivre, dès la naissance et toute sa vie, en pleine forme.
En sanctuarisant notre système de défense immunitaire, comme celui de la guerre par la dissuasion, nous supprimerons aussi la fatigue, les risques d’infarctus et nous donnerons à notre cerveau une vie nouvelle pour la recherche et pour notre avenir.
Oui, il nous faut supprimer la peur de la mort car la vie est sacrée et éternelle et elle ne doit pas être entravée par les dérives de la nature ou de la maladie qui mettent notre vie en danger, chaque jour.
Chassé du Mali par les « sans-rien » de Monsieur Macron
Il ne s’agit plus d’un retrait de nos troupes mais d’une retraite face à des sans-rien qui constituent à 90% la population du Mali.
La France est en train de perdre son influence en Afrique. Eh oui, Monsieur Macron, les sans-rien vous ont fait battre en retraite. Heureusement qu’en Afrique, il reste encore des piliers solides comme au Maroc, au Sénégal, en Tunisie, en Égypte, au Cameroun, au Congo Libreville et quelques autres.
Le retrait du Mali est une défaite : on en est chassé. Bien sûr, il s’agit de juntes militaires, et je fais le pari qu’avec un nouveau gouvernement en France et le départ de la junte militaire, le Mali reviendra dans le cœur des Français.
Mais il faut savoir qu’en étant chassé du Mali et peut-être du Burkina Faso, on perd la possibilité d’assurer la suppression du réchauffement climatique au Sahara.
Perdre les pays qui entourent le Sahara mettra en difficulté la reconquête du Sahara en cultures et en forêts.
On ose dire que les Chinois et les Russes veulent s’implanter en Afrique mais jamais, ni les Chinois, ni les Russes, ne pourront s’adapter à la civilisation de ces pays. La civilisation musulmane n’a rien à voir avec la civilisation totalitaire ou judéo-chrétienne.
Faudra-t-il encore que les pays occidentaux et plus spécialement l’Europe, comprennent qu’il faut aider ces pays matériellement pour qu’ils aient les moyens de créer des oasis dans le Sahara. C’est la condition nécessaire pour stopper le réchauffement climatique.
La France en déroute au Mali pourrait bien aussi perdre le Burkina Faso et peut-être, un jour, le Sénégal.
Voilà à quoi conduit la politique des sans-rien énoncée par Monsieur Macron. Ces sans-rien deviendront aussi des emmerdeurs et des empêcheurs de tourner en rond.
Monsieur Macron, laissez la place à ceux qui oseront reconquérir le cœur des Africains, et ce n’est pas la repentance qui résoudra le problème.
Alors, Français de tout bord, il faut redonner à la France sa force, son génie brisé et nous avons tout pour y parvenir.
Les promesses de façade
Un candidat qui affirme ne pas avoir la foi et qui se met sous la protection de l’archange St Michel, qui parle, pendant son meeting, de spiritualité, semble avoir subi une conversion. En tout cas, ce n’est pas cohérent avec toutes ses promesses et ses attitudes envers la femme, face aux sans-rien, face aux emmerdeurs.
Serait-il devenu macroniste ou bien a-t-il seulement besoin, pour être élu, des voix des chrétiens de France ? C’est un peu fort de café et pas très honnête. Mais il est vrai qu’il est entouré à présent de beaucoup d’hommes et de femmes pour qui la trahison est devenue coutumière.
Je n’ai rien contre les gens qui n’ont pas la foi, c’est leur droit, mais il ne faut pas tromper les électeurs. On ne peut pas toujours être adoubé par les siens et trahi par les autres.
Celui qui fait des promesses qui n’engagent que ceux qui les font et qui refuse de dire la vérité sur soi-même et sur les financements qu’ils proposent, sera exclu par le peuple français.
