Le bilan de votre santé, de votre vie, est toujours le même échec calamiteux : la mort.
On court toujours après des recettes de vie mais, en fait, la charge vitale devient de plus en plus lourde faute de ne pas avoir respecté les constantes de la vie. Elles sont les mêmes, que vous soyez riche ou pauvre, la finalité est la même : entre quatre planches.
70% des Français gagnent moins de 1 800 € par mois, soit 60 € par jour, et vous dépensez 30 € en moyenne par jour pour votre santé, pour votre retraite.
Nous allons vivre 83 ans en moyenne. Chaque Français va devoir dépenser la moitié de ce qu’il gagne pour survivre, souvent d’une manière calamiteuse, et avec pour fin un naufrage.
Il n’est de comptable ni pour écrire ce bilan, ni pour donner des solutions qui conduiraient à un bilan bénéficiaire dans la durée.
Il n’est, ni politique, ni médecin, pour réparer l’outrage du temps, et l’on s’y résigne. On ne le comptabilise pas.
Ce que je propose, c’est d’éviter de perdre notre défense immunitaire et de se mettre à l’abri des grandes maladies. Il en sera fini aussi de vos migraines et de vos souffrances. Vous allez conserver votre jeunesse avec toutes vos facultés, toute la vie durant, une vie beaucoup plus longue dans la joie, le bonheur, sans fatigue excessive, sans perdre votre souffle.
En fait, ce sera une autre vie, simplement en régulant les variations des constantes, tout aussi tueuses les unes que les autres.
Vous économiserez 30 € par jour de cotisations de toute sorte.
Cela mérite d’y réfléchir, avec Hygée le régulateur.
La démocratie, disons-nous !
Mais quelle démocratie ? Prisonnier de la nature et de ses actions visibles et invisibles. En fait, soumis à la face destructrice de la nature.
Être dépendant pendant 83 ans, en moyenne, est-ce vraiment une démocratie ?
Être soumis aux maladies, à la vieillesse, à la mort, est-ce une démocratie ?
On se croit des géants, mais incapables de neutraliser les forces de la nature, seules causes de nos malheurs vitaux.
Une démocratie incapable de réfléchir à une autre vie, à un autre régime. On ne pourra jamais faire une bonne politique, une bonne économie, sans une bonne santé.
Au-dessus de la folie des hommes, il y a l’évidence, la bonne volonté, la santé que l’on néglige. Pire, qu’on laisse détruire.
Halte à ces folies ! Redonnons-nous notre jeunesse ou tout du moins, conservons-là, pour une autre vie de bien-être, en pleine forme et très longue.
Osons s’attaquer à la nature en la régulant.
Merci pour l’homme.