Ecole privée, école publique :
où est la liberté intime du choix des familles ?
- Peut-on, une fois de plus, réveiller la guerre public-privé pour apprendre que l’Etat ne défend même plus la liberté ?
- On n’a vraiment pas autre chose à faire pour nos enfants ?
Monsieur le Président, vous êtes bien placé pour savoir qu’une grande majorité de vos députés, sénateurs et ministres, plus de 80% d’entre eux, mettent leurs enfants à l’école privée.
Et ils émanent, eux-mêmes, d’une école privée, à quelques exceptions près.
Les raisons :
- L’autorité que l’école publique ne parvient pas à imposer
- Un respect mutuel envers tous les enfants, leurs professeurs et leurs parents.
Je ne mettrai pas en cause la valeur de l’instruction ; l’excellence est partout et la liberté de chacun, c’est d’abord l’excellence.
Rappelez-vous Monsieur Mitterrand et l’immense contestation qui s’en suivit pour que tout le monde revienne à la raison.
Monsieur le Président, il faut mettre fin fermement à de tels duels qui en cachent beaucoup d’autres.
Monsieur le Président, arrêtons l’autoritarisme de quelques-uns pendant qu’il en est encore temps, donnons à nos enfants les moyens intellectuels pour acquérir l’excellence.
Donnons les moyens à nos enfants d’utiliser la totalité de leurs neurones.
Oui, Monsieur le Président, ce serait la plus grande révolution que vous pourriez faire, en conservant la paix et la liberté de chacun.
Avant de sortir de la pauvreté, il faut…
Avant de sortir de la pauvreté, il faut d’abord protéger sa vie et tout faire pour que cette vie puisse apporter à tous, les moyens physiques et intellectuels.
Tout Français a le droit et le devoir de donner à ses enfants les moyens de s’engager dans une vie qui ne laissera pas de côté quelques-uns mais qui ouvrira la porte de la réussite à tous.
La pauvreté trouve sa source dans l’échec scolaire et combattre les mauvais résultats scolaires commence par la santé, sous toutes ses formes, physiques, intellectuelles, etc.
Il nous faut donner aux enfants la chance de devenir des citoyens comme les autres et, pour ce faire, il faut éviter tout ce qui fait barrage au développement de nos neurones et de tous nos organes.
Ceci est capital pour sortir de la pauvreté.
Ce que je propose avec Hygée le régulateur, c’est de redonner à tous un trésor de vie.
Ce n’est pas un problème d’argent.
Donnons à chacun sa chance pour ne pas entrer dans la pauvreté.
La pauvreté a beaucoup de causes mais pour en sortir quand on a le malheur d’y avoir plongé, il faut vraiment un surplus de santé, d’énergie et de volonté ; il faut aussi le vouloir.