Prise en charge surconsommation

Actuellement tout le monde convient de dire que la chaleur est l’antithèse du froid.

Si l’on parle de froid climatique, il importe donc de créer une chaleur artificielle chez soi. Un confinement à 20° nous protège à 50%, un confinement à 30° nous protège à 100%.

Oui, il faut tuer le virus, en commençant par les centres d’incubation des  virus, c’est-à-dire tous les lieux réfrigérés tels que les entrepôts frigorifiques, les chambres et les comptoirs frigorifiques. Ce sont les lieux où l’on entrepose toute notre nourriture. Ce sont des lieux où réside un magma de virus et spécialement actuellement, la COVID-19. Cela est tout à fait réalisable par des lampes à ultraviolets. Certes, les aliments ne sont pas infectés, mais les surfaces peuvent être porteuses de la circulation du virus.

Il est vrai qu’en chauffant un appartement à 30° nous allons consommer davantage de fuel, d’électricité ou de gaz. Cette surfacturation se doit d’être prise en charge par l’État.

Faire un reconfinement à 20° n’est qu’une demi-mesure sans résultat certain et efficace.

 

Le confinement qui a un coût économique, ne doit pas être bradé à 20°.

Ce n’est que la chaleur de l’été, ce ne sera qu’une séquence d’été à 30°, artificielle, je vous le concède, mais absolument nécessaire pour tuer le virus.

Il est évident que pendant une période de quelques jours chacun devra s’habiller en conséquence et devra se couvrir pour sortir.

Les métros, les trains, les voitures, devront être surchauffées, y compris évidemment les supermarchés, porteurs du virus avec leurs comptoirs frigorifiques. Il vaut mieux transpirer quelques heures par jour que de mourir.

On ne pourra pas continuer à laisser vivre le virus d’autant plus que le vaccin actuel ne le tuera pas. Il réduira les dégâts mais ne le tuera pas. La preuve, d’ailleurs, est que les scientifiques reconnaissent que, même avec le vaccin, la personne vaccinée peut toujours être contagieuse.

Il faut arrêter de croire que le contact humain est la seule cause des cas de COVID-19. Il circule, évidemment : on le touche dix fois par jour sur les surfaces des produits achetés et même des colis qui nous parviennent.

J’aurais souhaité qu’il y ait d’autres solutions, mais il n’y en a pas.

Au passage, permettez-moi de dire aux Directions d’hôpital, il n’est pas admissible que dans les hôpitaux on ait froid. Ils devront être chauffés à 30°.

Aujourd’hui, nous savons la cause réelle du virus et de son développement. Si l’État continue à fermer les yeux, à ne rien faire de sérieux, il sera responsable de la mort de 300 personnes par jour et pour combien de temps encore.

L’orgueil du scientifique doit accepter la simplicité de la nature. Quand je dis qu’il faut chauffer, il va de soi, et cela est tellement évident, que dans les EHPAD, il faut chauffer à 30°.

Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre, la surfacturation des notes d’électricité, de gaz ou de fuel, doit impérativement être prise en charge par l’État car nombreux sont les ménages qui n’en ont pas les moyens.  Il  ne faut pas que la solution du chauffage soit seulement l’affaire des riches.

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